1. Élisa


    Datte: 02/01/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, médical, Collègues / Travail amour, fsoumise, hdomine, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, attache, fouetfesse, piquepince, f+prof, fsoumisah,

    ... masturbe aussi… Je n’ai jamais été autant enfiévrée, je mouille abondamment et suppose même que ça coule le long de mes cuisses. Le temps de prendre son temps est révolu, et je comprends par son changement de cible qu’il va me sodomiser. Cette fois-ci, il force un peu l’entrée, ce qui m’arrache un petit cri. — Détends-toi ! Je suspends ma respiration et laisse les sensations d’introduction forcée se muer en plaisir. Il crache à l’entrée, s’en lubrifie le sexe et s’enfonce. Il s’aide de quelques va-et-vient pour disparaître totalement pendant que je me caresse frénétiquement. Ayant passé le stade douloureux, je commence à en demander plus. Je m’empale alors seule sur sa queue, d’abord lentement puis, sous l’effet de la surexcitation, bouge à m’en défoncer le cul. Lui, il m’attrape la main libre pour la mettre dans mon dos et ainsi avoir une prise. Il accélère la cadence : — Je te démonte le cul, petite salope. J’espère qu’on t’a jamais baisée comme ça. Vas-y, empale-toi, bouge tes fesses de petite pute, fais-moi bander… Il agrémente ses paroles de petites claques, de tirages de cheveux… Il enfourne son doigt dans ma bouche et j’ai l’impression d’être la dernière des catins. Adorable sensation. Je m’étale sur le lit pendant qu’il s’affaire à me remplir. Les coups de reins se font plus rapprochés et il se sert de la couette pour étouffer un long râle de jouissance. Quant à moi il y a longtemps que j’ai joui, plusieurs fois même. Il reste comme ça, allongé sur moi à me câliner ...
    ... les cheveux. Il prend mes mains dans les siennes et dépose des baisers là où il y a un coin de peau. Millimètre par millimètre, il recouvre ainsi mon corps encore tout tremblant. Il se retire, nous passons à la douche et nous mettons sous les draps. — Enlève ça s’il te plaît, je veux te sentir nue pour dormir… Je m’exécute et me blottit contre lui. Après un long câlin, le sommeil finit par avoir raison de nous et nous nous endormons là, serrés l’un contre l’autre. Les jours de stage qui suivirent ressemblèrent aux précédents, ponctués cependant d’épisodes chargés en énergie sexuelle dévastatrice. Nous ne repassâmes pas de nuit ensemble mais je venais souvent le voir dans son bureau en fin de soirée, comblant notre désir contenu de la journée. Il m’invita deux fois au restaurant et je fus ravie de voir que nous nous entendions à merveille, sur tous les plans. Un mois se déroula ainsi, un mois d’observation que je redoutais tant au départ. J’eus la même note que mes camarades sur mon carnet. J’abordais le stage suivant avec beaucoup moins d’appréhension, et me rendais, à l’occasion, dans son service le matin pour lui prodiguer quelques caresses envoûtantes. Je sentais qu’il s’attachait de plus en plus à moi, ce qui était, bien entendu, réciproque. Il ne cessait de m’appeler par des noms gentils et quelques fois nous restions juste dans les bras l’un de l’autre, sans aucun débordement. Il m’avait fait sienne par le collier et je ne voulais plus répondre à d’autre ordre que le ...
«12...111213...17»