Élisa
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
profélève,
médical,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
sm,
attache,
fouetfesse,
piquepince,
f+prof,
fsoumisah,
... suivent pourtant pas ses mots et c’est avec la plus grande douceur qu’il entame une longue série de coups de reins. J’ai toujours apprécié la sodomie et j’ai la chance d’avoir en face de moi (ou plutôt en moi) un adversaire redoutable. Il n’hésite pas à accompagner sa pénétration de morsures légères à la nuque, redoublant ainsi chez moi la fréquence des frissons et des gémissements amortis par le tissu. La séance d’échauffement étant terminée et me devinant assez préparée, je me fais maintenant démonter le cul. Cette soumission est tellement intense, tellement aboutie, que j’en oublie le lieu, les circonstances, les personnages ; je ne suis plus que son objet rempli de désirs. Il s’acharne sur moi en y allant de plus en plus fort, agrémentant la chose de quelques claques bien placées. Je libère ma main gauche et la glisse sous mon ventre pour me caresser. — C’est ça petite chienne, fais-toi jouir… Et de concert, nous partons dans une délivrance des plus violentes. Je ne me rappelle plus ce qui s’est passé ensuite, peut-être sommes-nous restés là quelques instants, à profiter tout simplement. Les secondes ont sans doute été des minutes, toujours est-il que seul le tintement des cloches de l’église nous a renseignés de l’heure qu’il pouvait être. Après cette période de flottement, nous avons repris nos esprits et je sais qu’il est longtemps resté sur moi à me caresser les cheveux, le dos, les cuisses… Ses baisers ont parcouru mon corps et je n’ai pas cherché à retenir mes ...
... gémissements de bonheur. — Tu es la plus incroyable des étudiantes perverses. Son sourire rayonnant traduisait un plaisir manifeste. — Vous n’aviez pas des choses importantes à faire ce matin ?— Aujourd’hui était mon jour de repos… Je savais que tu allais venir. Je fondais sous son charme et aimais voir que la complicité se poursuivait après les ébats. Un clin d’œil et des tonnes de baisers plus tard, nous voilà rhabillés et prêts à nous quitter. Il me prend une dernière fois dans ses bras, dépose ses douces lèvres sur mon front et me libère. J’esquisse un sourire dans le couloir en partant. Samedi – Dans le train Levée aux aurores et excitée de rentrer enfin à la maison, retrouver mon lit douillet et surtout, surtout, ne plus être réveillée en pleine nuit par des soûlauds qui braillent des chansons paillardes sous mes fenêtres. Je suis de bonne humeur et ça se voit, le type en face ne me quitte pas des yeux depuis le début du trajet. Il me sourit même. Je le sens hésiter lorsque le train marque l’arrêt de la prochaine ville, puis il descend, peut-être sans avoir eu le courage de me parler. Remettant mes écouteurs, je choisis des chansons entraînantes et me remémore la journée d’hier. Des images obscènes me parviennent comme un boumerang. La voix orgasmique de Trent Reznor confère à mes indécentes pensées une nouvelle dimension ; je me sens bouillir, j’ai envie de savourer cette passion jusqu’à l’ivresse. Dans cette douce rêverie, je me projette dans son bureau dans les tenues les ...