Élisa
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
profélève,
médical,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
sm,
attache,
fouetfesse,
piquepince,
f+prof,
fsoumisah,
... poigne, j’entends domination sexuelle… cette idée me fait frissonner… Il jette un coup d’œil sur l’ensemble des personnes réunies (c’est-à-dire une dizaine) et s’arrête le temps d’un battement de cil sur moi. La scène semble suspendue et un regard de connivence s’établit. Ça y est, j’ai envie de lui… Ce matin pourtant, pas le temps de chômer, mon médecin satyre ne peut se permettre une escapade charnelle avec l’étudiante. Je dois patienter jusqu’au déjeuner pour lui rendre visite, quitte à voir mes amies partir bien avant moi. Je fais mine de les suivre et pénètre dans son bureau. Je n’ai encore jamais eu l’occasion de l’explorer ; je profite donc de cet instant pour remarquer qu’il n’y a aucun cadre avec une potentielle photo de sa femme, ce qui pour être honnête, me réjouit sacrément. Soudain, une main m’agrippe la taille. Cet homme évolue décidemment à pas de loup. — J’ai une surprise pour toi. Il me passe devant, se baisse et tire de son sac à dos… un collier. J’ai déjà vu ce genre de « parure », c’est un accessoire de soumission, un collier de chien. Il y a même un anneau pour y accrocher une laisse. — À genoux joli félin, il va t’aller divinement bien. Je relève alors mes cheveux tandis qu’il fait de moi sa soumise, tel un adoubement… Il y accroche une laisse, d’ailleurs plus un joli bout de tissu, et baisse son pantalon. Son sexe est déjà à moitié tendu et, fidèle à mon rôle, je détourne le regard et me tiens sagement là, jusqu’à nouvel ordre. Il semble apprécier la ...
... situation et ne presse pas les choses, contemplant sûrement son nouveau jouet. Au bout d’un moment, il tire quand même sur la laisse, me prie de relever la tête et dépose son membre sur mes lèvres. Je n’ouvre pas la bouche le laissant ainsi parcourir son contour, et pose mon regard droit dans le sien. — Prends-moi en toi mon cœur… Toujours plongée dans ses pupilles, je n’esquisse pas le moindre mouvement. La perspective d’une punition me rend folle. — Ça t’amuse de me faire languir, on dirait. Ouvre la bouche, petite chienne, ou tu vas te souvenir longtemps de ce que j’ai dans le sac. J’affronte une nouvelle fois son regard sans ciller. Ma rebuffade ne l’amuse plus et il me serre à présent le nez. Si je ne veux pas suffoquer, j’ai plutôt intérêt à coopérer. Prenant une grande inspiration, il tire de plus belle sur la laisse et enfonce son sexe jusqu’à la garde. Je suis étonnée de ne sentir aucune nausée, ce doit être grâce à l’apnée. Il ressort et je m’apprête alors à prodiguer une fellation appliquée. Ma langue joue avec son gland, tourne autour dans le plus doux des ballets, salive de déguster cette chair si tendre et si sensible. Il me caresse les cheveux en guise de contentement. Je quitte cette partie pour le prendre entièrement en bouche, le sucer avidement jusqu’à en être rassasiée. Ce moment n’arrive bien entendu jamais. Je suis là, à genoux, mains dans le dos, à satisfaire cet homme. Il m’arrête, arrache plus que déboutonne mon chemisier et me met les seins à l’air ...