1. Marion ; une veuve, une maman (6)


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Je comprends parfaitement… Tu en as de la chance d’avoir une aussi jolie maman, tu ne trouves pas ? — Oui Monsieur… je crois, admit Mathieu en bafouillant, de plus en plus mal à l’aise. — Tu sais, mon grand, c’est une bénédiction d’avoir une mère aussi belle… Tu devrais remercier le ciel pour ça, tu ne penses pas ? — J’en sais rien ! Pourquoi vous me dites ça ? — Parce que si j’étais à ta place, je ne pense pas que je voudrais qu’on rajoute un lit dans ma chambre ! Mathieu se demanda s’il avait autour du cou un écriteau sur lequel était inscrit « JE VEUX BAISER MA MERE » en grosses lettres capitales, tant cet étrange bonhomme semblait lire en lui comme dans un livre ouvert. Etait-ce si flagrant ? Comment ce dégoutant personnage avait-il pu deviner en si peu de temps, comment pouvait-il savoir ? — Ça ira comme ça, Monsieur, reconnut Mathieu en soutenant le regard du vieillard lubrique, furieux d’avoir été démasqué aussi facilement. — Si ta maman est en colère, dis-lui de venir me voir fiston, je m’excuserai personnellement… mais je suis sûr que tout se passera comme tu le souhaites, conclut le vieil homme, en lui faisant un répugnant clin d’œil complice. De retour dans la chambre, Mathieu expliqua à sa mère que le gérant s’était trompé dans les réservations, qu’il ne pouvait rien faire de plus ; ils occupaient la dernière chambre disponible, et il n’y avait pas de lit de camp. Marion roula des yeux, fit la moue, ouvrit les bras d’un geste las, poussa un long soupir résigné, ...
    ... comme si elle réalisait qu’ils étaient victimes d’une fatalité qui les dépassait tous les deux. Il se demanda si c’était sa façon de lui faire comprendre que la perspective de partager son lit avec lui n’était pas pour lui déplaire… Ils allèrent se promener, firent les boutiques, le tour du village, puis se mirent en quête d’un restaurant. Ils n’arrivaient pas à se dérider, alors ils burent beaucoup durant le diner. Le cadre était agréable, personne ne les connaissait, ils purent s’enivrer en toute liberté. Sur le chemin du retour, Marion s’agrippa au bras de son fils, s’appuya sur lui de tout son poids ; il l’aida en la soutenant par la taille, elle n’était déjà plus très stable. Elle ne tenait pas l’alcool, il en avait eu un aperçu qui le hantait depuis, mais comme elle n’était pas aussi saoule que le soir du massage, il lui proposa de prendre un dernier verre au piano-bar de l’hôtel. Ils s’installèrent dans un box, commandèrent un verre de Merlot pour elle, une pression pour lui. Il y avait un pianiste qui connaissait son boulot, et un clone de Nora Jones au micro. Ils regagnèrent leur chambre sans finir leur verre, quand le barman les informa qu’il allait fermer. Dans les escaliers, son manteau sous le bras – elle avait chaud -, elle le précéda d’une démarche chaloupée, et il ne put détacher ses yeux de la croupe qui ondulait quand elle monta les marches. Elle s’enferma dans la salle de bain, en sortit longtemps après démaquillée, les cheveux détachés, le corps dissimulé ...