Marion ; une veuve, une maman (6)
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... dans une sortie de bain d’une blancheur immaculée. Mathieu fila sous la douche sans la regarder ; l’idée qu’elle était nue sous son peignoir l’affolait, lui donnait le vertige. Elle était assise dans le lit quand il revint, elle portait une sage chemise de nuit qui n’avait rien de suggestive. Il fouilla dans sa valise, trouva son pyjama, retourna l’enfiler dans la salle de bain, puis rentra dans le lit et s’assit à l’autre extrémité. Marion joua avec la télécommande, passa nerveusement d’une chaine à l’autre avant d’éteindre la télé. — Nous devrions dormir, mon chéri… Il est tard, je suis un peu saoule, et une longue route nous attend demain, se justifia-t-elle pour éteindre la lumière, plongeant la chambre dans le noir complet. Elle remua dans le lit, à la recherche de la meilleure position pour passer la nuit, s’installa couchée sur le côté, de façon à lui tourner le dos. Mathieu s’allongea à son tour, les yeux grands ouverts, la bouche sèche. Il pouvait sentir la chaleur qui émanait du corps maternel, près du sien ; enhardi par l’obscurité totale, il s’approcha, se cala contre elle, sa queue frôlant les fesses. Il souleva la nuisette, la remonta sur les reins, posa sa main sur le dos nu, la laissa glisser en contournant les hanches ; il sentit la chair tiède du ventre qui ployait sous ses doigts. Il fit remonter sa main vers les seins, les palpa, puis la laissa s’égarer en bas, l’introduit dans la culotte. Il empauma la motte, frissonna au contact des poils pubiens, ...
... parcourut la fente du bout des doigts, les enfonça dans la chair bouillante et gluante. Il commença à la masturber lentement, méthodiquement, avec des gestes sûrs et précis. Marion gémit, ouvrit les cuisses, respira plus vite, plus fort ; elle se demandait où il avait appris à le faire aussi bien. Elle se ravisa soudain, retira brusquement la main et l’étreignit de toutes ses forces, pour l’empêcher de continuer, parce qu’elle ne voulait pas qu’il la fasse jouir, et elle le supplia dans le noir. — Non Mathieu… Arrête ! Ce n’est pas bien… il ne faut pas… Mais il ne l’entendait pas de cette oreille. Il se défit de l’étreinte, lui soupesa la chatte, fouilla dans les poils avec autorité, replia ses doigts dans le vagin. — Touche-moi toi aussi, maman… en même temps… Elle se tourna pour lui faire face, essaya de le sermonner, mais il lui attrapa une main qu’il posa avec fermeté sur son sexe. ioxieebl Elle réprima un sanglot mais ne résista pas vraiment, referma les doigts autour de la queue, fit coulisser sa main, commença à le branler très lentement, tout doucement. — Tu fais ça bien, tu sais… mais va plus vite, s’il te plait… Elle le masturba énergiquement, en serrant compulsivement le pénis dans sa main, pendant qu’il enfonçait ses doigts encore plus loin dans le vagin. — Embrasse-moi, maman… embrasse-moi sur la bouche ! Il avança son visage vers le sien, les lèvres en avant, et il fut surpris qu’elle lui obéisse, pourtant elle lui fourra sa langue dans la bouche. Ils s’embrassèrent ...