Une querelle qui se termine bien
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
pénétration,
fh,
Collègues / Travail
amour,
soubrette,
noculotte,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
mélo,
... n’étant pas décidée à ce que nos corps se séparent trop rapidement. Par la suite, nous nous sommes collés l’un à l’autre et nous sommes partis dans une sieste réparatrice. °°°°°°°°°°°°°°°° Je dois dire que la suite fut assez prévisible ; la nuit ne fut pas des plus calmes, et le dimanche nous trouva un peu fourbus. Nous avions passé la nuit à alterner des séances de grignotages actifs (il fallait bien reprendre des forces) avec des périodes de caresses mutuelles, le tout coupé par des périodes explosives d’accouplements assez sauvages suivis de petites siestes réparatrices. Elle ne me quitta que le dimanche soir, notre temps ayant été occupé comme durant la nuit. Virginie semblait heureuse quand elle se lovait dans mes bras pour reprendre ses esprits, mais je la sentais inquiète pour la suite. Elle ne voulut pas prendre de décision immédiate suite à ce week-end très spécial. Avant de me quitter, elle décida de travailler chez moi comme avant. C’est ce qu’elle fit, mais nos rapports allaient devenir des plus intimes et nous recherchions toutes les occasions de passer des moments ensemble. Je dois ajouter que je n’invitais plus de filles car Virginie me comblait. Elle finit par accepter, au retour de sa fille, de venir habiter chez moi avec elle. Je ne sais ce qu’elle lui avait dit exactement, mais juste avant que la décision se matérialise, Émilie était venue me voir sans Virginie pour me dire qu’elle serait heureuse que je devienne son papa. Il faut dire qu‘elle s’était ...
... habituée à venir chez moi quand elle voulait ; au début elle sonnait et montait si j’étais là ; puis, quand elle commença son CP, je lui avais donné une clef pour qu’elle puisse venir même en l’absence de sa mère. Elle avait un ordinateur à sa disposition avec des jeux ; elle profitait de la terrasse quand il y avait du soleil et, souvent, si j’étais chez moi à travailler, je gardais un peu de temps pour discuter avec elle sur ce qu’elle faisait à l’école, de ses amies ; je l’avais déjà consolée de ses mésententes avec sa mère ou ses amies ; j’étais devenu pour elle un confident. Je dois dire que je ne me suis pas fait prier pour accepter la demande d’Émilie, et c’est ainsi que ma première fille avait sept ans quand je l’ai reconnue devant l’état civil. Trois faits allaient précipiter nos rapports vers un mariage officiel. Un mois après notre rencontre charnelle, alors que personne était au courant que nous allions nous mettre ensemble, j’invitai les parents de Charlotte et les parents de Virginie un dimanche à midi pour partager notre déjeuner avec Virginie et Émilie ; au cours du repas, je ne sais plus ce que j’avais dit mais Émilie, sans faire attention, m’apostropha : — Papa, tu pourrais… Elle se mordit les lèvres ; j’éclatai de rire devant les airs surpris des invités et le visage devenu rouge de Virginie. Elle (comme Émilie) n’avait rien dit à ses parents. Nous avions décidé de profiter du repas pour le leur dire, mais cela ne devait se faire qu’au moment du café et non ...