1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 02/01/2021, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo,

    ... comme un détail de rapport père-fille. Je dois dire que, la surprise passée, nos invités étaient très heureux de l’annonce. Environ trois semaines après ce repas nous recevions Bernard (un de mes associés) avec sa femme. Ils ne furent pas surpris de voir Virginie installée chez moi. Profitant d’un moment où les femmes étaient parties ensemble à la cuisine, mon collègue se moqua un peu de moi : — Tu as mis le temps pour te décider ; je pensais bien qu’un jour ou l’autre cela allait arriver car il était très visible que Virginie était amoureuse de toi, et toi, tu ne voyais rien : tu la considérais toujours comme si c’était ta petite sœur, très prévenant vis à vis d’elle, mais en même temps assez distant. Comment tu t’es aperçu que tu avais des sentiments plus forts pour elle ? Naturellement, je ne lui ai pas raconté ce qui s’était passé entre nous ; j’ai simplement dit que c’était arrivé petit à petit et qu’un jour je n’avais pas pu résister à l’embrasser et que je m’étais rendu compte qu’elle n’attendait que cela. La réflexion de Bernard m’a permis aussi de comprendre le déclenchement de la crise 6 semaines avant. Virginie avait trouvé (sans s’en rendre compte car elle me nia toujours le fait) ce moyen du vol de monnaie pour que je fasse attention à elle, et ses tirades très méchantes vis à vis de moi étaient une manière pour elle de décompresser devant un homme incapable de la voir telle qu’elle était, incapable de voir l’amour qu’elle lui portait. C’est à la suite de cette ...
    ... petite discussion que je me suis mis à faire plus attention à Virginie, à devancer ses désirs et à l’aimer sans retenue. Ma séparation d’avec Charlotte, 3 ans avant, avait dû être facilitée par nos indifférences réciproques que nous avions l’un vis à vis de l’autre suite à nos courses vers les succès. Quelques semaines après ce repas, le 3ème évènement nous poussant au mariage me fut confirmé par Virginie. Comme je lui fis remarquer que depuis que je jouais avec ses seins ceux-ci s’étaient bien développés et étaient devenus plus durs, elle avait éclaté de rire, tout heureuse de m’annoncer qu’elle était enceinte. C’était le résultat normal de nos ébats très fréquents et très soutenus. Nous avions bien discuté entre nous de la possibilité d’avoir des enfants, mais à aucun moment – qu’il s’agisse de Virginie ou de moi – nous n’avions parlé de contraception. Je dois dire que je pensais qu’elle prenait la pilule ou qu’elle avait un stérilet, et elle, vu la discussion sur les enfants, était partie du principe que si nous voulions des enfants il fallait commencer de suite sans attendre, et elle voulait m’en faire la surprise. L’étreinte que nous eûmes ce jour-là fut à la fois douce et torride. Finalement, 3 mois après la crise, nous étions mariés ; Émilie avait un vrai papa et elle était tout heureuse d’annoncer à ses amies deux mois après qu’elle allait enfin avoir une petite sœur pour le mois d’avril. Le seul problème que nous avions Virginie, Émilie et moi, c’était de trouver le ...