Chienne un jour, chienne toujours (2)
Datte: 04/01/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Sans attendre sa réponse, je file me changer. Ben oui, une fois de plus ! Pour ma sœur, je me veux plus sévère, plus agressive, avec un brin de sadisme dans le regard et j’ai de quoi. C’est avec un très grand soin, parmi toutes mes fringues, que je choisis une paire de bas noir avec cette couture à l’arrière, cette jupe droite grise serrée jusque sous le genou, ce chemisier blanc avec son joli petit jabot et ce merveilleux tailleur de maman, très strict et assortit à ma jupe. Pour les dessous, juste une culotte noir, c’est mieux si cela dégénère chez la frangine. Elle est de conception fragile. Parée, devant le miroir, il me manque quelque chose, mes cheveux ne sont pas coiffés. En quelques secondes, je me fais un chignon bien serré, bien centré. Je me mire encore. Pour un peu, je tomberais amoureuse de mon reflet. Je ressemble à une institutrice sadique, une qui aime à punir sévèrement ses élèves avec de douloureuses fessées sur leur petit cul. Mmmh, il ne me manque cette petite touche qui ferait de moi une institutrice encore plus haïssable. Il ne me faudrait qu’une petite paire de lunette. Et j’ai cette paire, celle quand je jouais au théâtre. Je me pars donc de cette petite paire de lunette ronde et aux verres neutres, cela ajoute une belle touche des plus vicieuses à ma tenue déjà très draconienne. C’est vrai que je ne suis plus la même depuis ce matin. Là, je me sens impitoyable, jupitérienne. — Marion, ma salope, désormais, il te faut aller de l’avant. (Bizarre, voilà ...
... que je me motive.) Mon sac avec mon jouet sous le bras, je ne perds plus une seule seconde, je file prendre le bus. Dans le bus, on me regarde, on me décrypte, on me dévore des yeux. À les voir, tous, ma tenue et mon comportement hautain créent ce petit effet que je recherchais. Je peux même m’imaginer leurs pensées. Il y en est bien quelques-uns qui rêverait d’être à ma botte, surtout le petit ventripotent du fond et cejeune homme boutonneux qui bande comme un âne devant moi. Mon 95D et ma petite taille font un effet bœuf. Ben quoi, je mesure, pieds nus, 1m51. Là, avec mes talons haut, je fais bien 10 bons centimètres de plus pour un poids autour de 45 kilos toute mouillée. L’excitation me gagne de voir ces hommes me toiser avec des yeux qui me dévorent déjà. Devant l’immeuble de ma sœur, j’ai tout de même une petite boule au ventre sur ce que je vais découvrir. En montant les deux étages, cette boule grossit. C’est encore pire devant la porte, au moment où je sonne. — Bonjour, vous cherchez quelqu’un ? — Oui, ma sœur, vous devez la connaitre, c’est une menteuse d’un mètre soixante-huit, pesant dans les 53 kilos et un bon 85D comme poitrine sans aucun poil sur le crâne. (Le ton est sec, presque brutal. Et là, plus de boule au ventre.) — Oh c’est toi, putain, tu es superbe comme ça ! — Tss, vulgaire en plus ! Je peux ? (Mon ton hautain, ma main méprisante l’oblige à s’écarter.) — Heu oui, entre. (toute émue la frangine) Pour lui montrer que je ne plaisante plus, je l’écarte ...