1. Chienne un jour, chienne toujours (2)


    Datte: 04/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... du bras. Dans son salon, assise, mes jambes jointes, inclinées légèrement sur la droite avec soin, mes mains sur mon sac, mon sac sur mes genoux, je ne démords pas de l’intransigeante femme rigide dont je veux lui donner l’image. Pire, je la fixe d’un air encore plus dur, plus tyrannique, attendant ses explications. Ma sœur reste debout, visiblement empruntée par ma tenue qu’elle ne cesse de contempler. — Oh c’est bon, je t’ai menti, excuse-moi… Je suis allé me fait percer mon nez et mon clito. J’ai aussi acheté des accessoires dans cette boutique, chez cette femme que tu trouves superbe. Et puis mon corps est entièrement épilé. Là, t’es contente ? — Presque contente. Mais je sais déjà tout ça, j’ai même vu la liste de tes achats. Très bien cette boutiquière, très belle prestance et quel physique. J’ai aussi sa carte de visite, je pense même y retourner très prochainement. Mais moi, ce que je désire savoir en tout premier, c’est pourquoi et avec qui ! Je me montre encore plus méchante dans l’intonation de ma voix — Parce que j’avais envie de changer un peu. — Mon cul oui, il y a un homme ou une femme derrière tout ça ! Te connaissant, c’est encore un mensonge, un honteux mensonge. Ne me prends pas pour une demeurée, s’il te plait. J’ai beau n’avoir que 18 ans, mais je ne suis pas tombée de la dernière pluie. Je ne suis plus une gamine, bordel ! (Je lui montre mon côté le plus virulent, prête à lui bondir dessus toutes griffes dehors. Martine commence à plier sans encore ...
    ... rompre, dommage…) — Ok, oui, j’ai rencontré quelqu’un, y a huit mois de ça. C’est une femme d’une quarantaine d’année dont je suis très éprise depuis. C’est pour elle que je fais tout ça. Du reste, je serai aussi sa soumise dès vendredi et, comme tu me l’as dit au téléphone, sa petite chienne, d’où les piercings. — Et donc, tu la vois vendredi ? — Oui, je serai chez elle pour le weekend, elle fera de moi sa chienne. Peut-être plus longtemps, je n’en sais rien encore. — Montres-moi tout ce que tu as acheté à ce jour, je veux tout voir, tout ce que tu as ! Sinon, tu le vois ? C’est un modèle destiné à endolorir le corps des menteuses de ton espèce ! — Oooh, il est superbe. (Jamais vu des yeux briller autant que ceux de Martine, la vache, ça surprend.) — Et il fait très bien son travail, je l’ai même testé sur la jolie petite chienne de cette belle boutiquière. Mais si tu veux y gouter, je suis à ta disposition, sale menteuse ! Là, ma sœur ne me répondit rien. Ses yeux brillant de bonheur, ils fixent mon petit martinet avec une envie certaine d’y gouter. Si je ne reconnais plus l’ancienne sœur que je connaissais, maintenant, le trouble me gagne. J’ai même peur de perdre pied si je fléchis un tant soit peu mon air sévère : Je ne dois pas faiblir, sinon tout est à l’eau. En plus, Je ne sais même pas ce qui m’a pris de lui parler ainsi, jamais pareils phrases n’étaient sorties de ma bouche, jamais ma voix fut plus autoritaire et venimeuse qu’en ce jour. Du moins jamais devant un membre ...
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