Chienne un jour, chienne toujours (2)
Datte: 04/01/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... de ma famille. — À poil sale chienne, je vais t’apprendre à mentir à ta nouvelle Maîtresse ! — Mais, tu es ma sœur !!! — Non, ça c’était avant, avec l’ancienne Martine, celle qui était ma sœur. Là, tu n’es plus que ma chienne, ma propriété à compter de cet instant et pour très longtemps. C’est clair, espèce de petite menteuse ? Là, je vois un frisson parcourir son corps de traitresse. Miam, j’ai une furieuse envie qu’elle me broute le minet pendant que je rougirai son cul de chienne à l’aide de mon jouet. Du coup, je zèbre son ventre de mon martinet, d’un bon coup bien fort. — Heu oui, oui, à poil, bien Maîtresse, tout de suite Maîtresse, pardon Maîtresse ! Yes, elle m’appelle Maîtresse. Maintenant, elle va rompre, s’assouplir, c’est certain, et entièrement se soumettre rien qu’à moi. J’en mets ma main au feu. Devant moi, souriante, encore toute étonnée, ma sœur me dévoile très vite son corps entièrement glabre. Un corps que je connais pour l’avoir aimé, quelques fois, tendrement à l’époque où nos corps accentuaient leurs formes féminines. Debout devant moi, je la regarde de mon fauteuil. D’un geste autoritaire, mais posé, je lui montre la direction de sa chambre. Elle sait que je veux tout voir. Quand elle passe près de moi, c’est encore plus fort que moi, le martinet siffle et lui dessine un beau trait rougeâtre sur sa croupe appétissante. Coupée dans son élan, son regard plonge dans le mien, je lis l’envie, le désir que je recommence, ce que je fais sur le champ. La voilà ...
... parée d’une nouvelle zébrure rouge sur ses fesses. En la regardant marché, les deux coups de mon jouet dessinent un bel et grand X sur ses fesses. Embrasée, je trouve même cela si amusant que cela me fait sourire. Je commence même à prendre gout à ce genre de jeu. Ce n’est pas ma culotte qui va nous dire le contraire. Martine, revenant à moi avec une grosse valise trolley, s’empresse de l’ouvrir de tout étaler. Mon petit martinet lui ordonne brutalement de reculer en lui marquant sa poitrine d’un saisissant trait qui rougit instantanément, un de plus. Impatiente, je farfouille déjà cette valise à malice. Ma sœur s’agenouille près de moi, ses mains dans le dos, délicieuse, admirable. Dans sa bouche, j’enfonce un beau gode, bien long, bien épais. La bouche ouverte, remplie, ma sœur me fixe. Elle ne déteste pas que je la rudoie. Sur ses seins, ces petites pinces écrasent ses tétons bien durs. Elle grimace sans chercher à fuir cette douleur. — Mais c’est vrai que tu es une bellepetite salope. Tu sais quoi, tu me donne une idée. Tu vas voir. Ce que j’y découvre me fait mouiller et c’est peu dire. Aussi, debout, lui désignant du martinet quelques objets, je m’amuse en déguisant ma sœur en une chienne parfaite. Entre ses fesses préparées, cet épais et long sexe de chien la pénètre lentement et entièrement son œillet, même le nœud. C’est la copie exacte du sexe d’un gros chien avec son gros nœud bien large, bien épais avec, en son extrémité externe, une imitation de queue canine plus ...