1. Chienne un jour, chienne toujours (2)


    Datte: 04/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vraie que nature. Ma salope de frangine doit se la mettre souvent à l’entendre glousser de plaisir. Dans ma main, la bite canine est entrée dans son croupion comme dans une motte de beurre. Sur le visage béat de ma sœur, ce masque muselière fait d’elle une chienne parfaite en tout point, il y a même de jolies oreilles avec. Un superbe collier étrangleur vient garnir son cou. J’y cadenasse une chaine en acier chromé en guise laisse et glisse la clé dans la poche de mon tailleur. La voilà joliment chienne et avec du chien qui plus est. Sans rire, elle me fait mouiller. Si je m’écoutais, je me déguiserais comme elle pour savoir ce que cela procure, surtout la gosse et longue queue dans mon cul. Je pourrais adorer après tout ? Ma frangine, elle juste merveilleuse ainsi parée. Cependant, je n’en oublie pas qu’elle est ma chienne, ma soumise et que j’ai envie que cela continue longtemps. Durant tout ce temps de préparation, je ne me suis pas gênée pour laisser courir mes mains sur son corps si docile et si réceptif. Sur le point de jouir, j’arrête de la caresser sèchement, d’une bonne petite tape sur son sexe. — Assis !...C’est bien, on est la bonne petite chienne à sa petite sœur. Je me demande ce qu’en penseraient nos parents en te voyant comme ça (le ton est railleur, humiliant). Mais quel dommage que je n’ai pas pensé à prendre mon appareil photo. Tu sais, chez cette féérique boutiquière, je me suis imaginée que c’était toi la chienne que j’ai fustigée. Oh c’est vrai, tu ne ...
    ... peux me répondre. Tu n’as que me répondre en hochant ta tête de salope ! Oui, comme ça, c’est parfait ! Tout ce temps, je tourne autour de cette femme, laissant trainer mes mains, ces petites curieuses. Une sœur méconnaissable dont le simple fait de la regarder me fait mouiller. Ma pauvre culotte peine à gérer ma mouille. Pour un peu, il me faudrait presque une couche-culotte pour absorber mon flux de cyprine. De la valise, je sors une splendide grande cape noire satinée que je pose délicatement sur ses épaules et la noue à son cou. Si je ne suis pas devenue une vicieuse de la pire espèce, je dois être une sainte des enfers, adepte du quelconque culte sadique obscure. Quoique, ça se pourrait bien en regardant ma frangine ainsi fagotée près de moi, devant ce miroir. Oui, je me découvre perverse, presque sadique. — Debout ma toute belle. Mets tes petites mimines dans ton dos. Voilà, tu sais que tu es une bonne petite chienne quand tu veux. Dommage que de n’avoir pas eu le courage de m’en parler avant, de tes vices, ma chérie. Nous aurions pu bien nous amuser toutes les deux. Ce faisant, je menotte ma sœur dans son dos, ajuste encore sa belle cape. Je la chausse de ses chaussures à talon aiguille, les plus hauts que je trouve. Merveilleux, la paire de soulier se ferme grâce à de petits cadenas bien solides que je prends plaisir à relier, perversité oblige, par une solide chainette assez longue pour ne pas trop gêner la marche de ma frangine. Je ne voudrais pas qu’elle vienne à ...
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