Chienne un jour, chienne toujours (2)
Datte: 04/01/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... aujourd’hui. Je la fixe, son visage s’illuminer à chacun de mes mots. La vache, elle mouille, ça coule jusque parterre. Je lui plaque ma bouche sur la sienne, premier baiser volé. La vache ce que ça fait du bien. Mais là, sur le sol, je ne peux tolérer ce que je vois. — Lèche ton jus, salope...C’est bien, bon, on y va, sinon nous arriverons devant une porte fermée. Encore un mot de ta bouche de menteuse et je remets la muselière. Quoiqu’après tout, je vais te la mettre. Et si tu te rebelles encore, c’est le soutien-gorge et ses petites pointes bien acérées que je te mettrai de force, en appuyant bien sur tes seins après. Si tu en as envie, ne te gêne surtout pas. — Non, je refummmmmh! Muselée, le martinet zèbre sa poitrine nue, lui rappellent qui elle est à mes yeux désormais. C’est fait, elle ne se débat plus, vaincue par KO, la frangine. Si je la pousse un tout petit peu, elle va me manger dans la main. Cela ne serait tarder à la voir se trémousser sous mon martinet. — Aller ma grande, on y va, nous sommes attendues par une femme délicieuse. Mon martinet pendu à mon poignet, je le pousse dehors, refermant son appartement derrière nous et ajuste sa cape pour ne pas trop dévoiler qu’elle ne porte rien d’autre que sa bite canine pour tout vêtement. Dans le rue, ma sœur et moi ne passons pas inaperçue et, je l’avoue, ça me réjouit. Les sifflets, les quolibets fusent de tout bord à notre passage et ce n’est pas non plus pour me déplaire car, cela reste tolérable. Je n’en ...
... dirais pas autant pour Martine qui est rouge de honte. Quittant sa banlieue, je passe au plus court. Gonflée à bloc, je décide de passer par le centre-ville, par les rues marchandes qui, à cette heure de la journée, sont bondées. Dans un recoin désert, j’y pousse ma sœur. Ma main sous sa cape, je la branle à l’aide du manche de mon petit martinet car elle mouille la garce, et comme une fontaine en plus. mrgmppaq — Et tu as de la chance que je ne t’aie pas mise tapetite culotte vibrante ma chérie. Laisse-toi jouir, tu vas aimer, sale petite chienne. C’est bien, tu vois que tu es une brave chienne, je t’aime quand tu es à moi, tout à moi. Tu le sais ça ? Ne pouvant me répondre sans ne pas hocher son joli minois, ses yeux déjà révulsés me disent que le corps à qui ils appartiennent vient de jouir. Pendant un moment, elle ne bouge pas, ses jambes sont encore toutes tremblantes à cause de la puissance de son orgasme. Plus loin, les remarques, à notre passage, n’ont pas cessés pour autant, il y en a de bonnes comme des désobligeantes, voire un peu agressives. Près d’une femme particulièrement amère, accompagnée d’un mari bandant comme une bourrique, et après une troisième remarque particulièrement injurieuse et acerbe, je ne me gêne plus. Elle a dépassé les bornes, cette poufiasse, je lui rentre dans le lard aussi sec. Elle va apprendre à me connaitre ! — Sachez ou apprenez, Madame la peste à la langue vipérines, que cette superbe belle femme vit pleinement ses fantasmes, qu’elle vient ...