Chienne un jour, chienne toujours (2)
Datte: 04/01/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... tomber à cause d’une chaine trop courte. Cela étant, marcher vite me parait impossible pour elle. Prête à sortir, ma petite chienne rougit quand je la place près de la porte d’entrée de son appart. Je l’admire encore. Depuis ce matin, à cause de ma sœur, à cause de cette boutiquière, j’ai des envies de folies vicieuses. Je commence à prendre gout aux vices les plus trash qui soit, c’est certain. Aussi, perverse presque accomplie, je lui retire sa muselière historie de l’humilier davantage. — Attends, j’ai une merveilleuse idée, ma chérie. Tu sais quoi, je vais appeler cette superbe boutiquière. Je vais lui dire que nous allons passer la trouver. Elle va être ravie de te voir ma chère petite chienne. En plus, on a le temps avant qu’elle ne ferme son magasin. — Mais tu es folle ? — Oui, de toi et de ton désir de soumission. Tu vois, là, j’ai même envie de te baiser, de te violer. C’est comme avec cette belle boutiquière, elle me plait. Pour un peu, j’ai envie de la baiser, elle aussi, de lui lécher le croupion et tout le reste. Je crois même que j’en suis un peu amoureuse, un peu comme avec toi. Putain, tu ne comprends pas que depuis hier matin, vous m’avez transformé ma vie, toi et ta boutiquière ? Tiens, il ne manquerait plus que Jojo, mon belenculeur, ne vienne se jeter à mes pieds pour que je plonge tête baissée. Tu ne te rends même pas compte de ce que tu as ouvert en moi, cette boite, la boite de pandore du cul. Là, tu sais ce dont j’ai envie ? Non, baiser et être ...
... baisée comme une pute, une chienne. J’ai envie de te fouetter, te voir grimacer, crier parce que tu souffres à cause de moi. Tout ça à cause que je t’ai suivie. — Non, je t’en supplie, je ne veux pas sortir comme ça ! — Et pourtant tu vas me suivre comme la bonne petite chienne que tu es. Je peux déjà te promettre que pas mal de tête vont se retourner sur notre passage, sale chienne. ASSIS et ne bouge plus d’un poil…Mince, c’est vrai, t’en as plus un ! (ordre sec et furieux puis, au téléphone, voix onctueuse, mielleuse) Oui, allo, Madame Gilberte ? Je suis celle du petit martinet de poche, Marion…Oui, très bien, merci. Dites, je vous appelle par ce que j’ai retrouvé ma petite chienne et, si vous me le permettez, il me serait agréable de vous la présenter d’ici, disons, une petite demi-heure…C’est oui ! Merveilleux, je vous adore. Oh, nous arriverons à pied….Non, le bus, vous n’y pensez pas sérieusement…non, c’est exclu, vous n’imaginez tout même pas une chienne dans un transport public, quel horreur si elle venait à s’oublier, vous imaginez la suite ?…Oui, c’est ça, je vous embrasse, moi aussi et à tout de suite ! — Mais tu es dingue ? Faut t’enfermer et jeter la clef ! Elle me gonfle, comme si ma sœur n’avait rien compris encore des effets de sa transformation sur moi. Alors, volubile, gesticulante, je répète, développe, accentue, traduis, exprime, divulgue, décortique, explique encore en extériorisant tout ce que je ressens après l’avoir suivie le jour précédent, mon enquête ...