Business, vernis à ongles et talons dorés
Datte: 23/10/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
cocus,
chantage,
Oral
couple+h,
... intime, l’appuya contre sa poitrine, qu’il embrassa avec passion. Caroline bascula la tête en arrière, dans une expression de plaisir infini. Après quelques secondes de ce spectacle dont je me délectais, elle se sépara de l’homme et se mit à genoux devant lui avant de lui ordonner : — Prenez la poignée, monsieur Daniel. Il semblait hésiter mais Caroline approchait déjà la main de son entrejambe. Et alors qu’elle jouait avec le zip de sa braguette : — Prenez la poignée, car c’est elle qui ouvrira la porte qui se trouve sous mes doigts… La métaphore sembla au goût de notre hôte qui prit la poignée. Et la porte s’ouvrit. Caroline prit de sa main délicate (ah, son vernis à ongles !) et, en commençant le mouvement de va-et-vient, se tourna vers moi en déclarant avec un sourire : — Il me semble que quelqu’un ici apprécie aussi les termes de notre entente, n’est-ce pas, monsieur Daniel ? Constatant mon excitation et certaine de ma complicité, elle se pencha pour prendre le sexe de l’homme d’affaires en bouche. Il fermait maintenant les yeux dans un râle. J’en profitai pour exécuter l’ordre chuchoté par Caroline, et avec mon téléphone, pris une photo. Le déclic surprit l’homme qui allait protester mais Caroline reprit sa fellation de plus belle, ce qui le replongea en état d’extase. Quant à moi, le spectacle de ma femme agenouillée, en petite culotte et talons aiguilles dorés, son corps tendu par un effort qui devenait progressivement frénétique (ah, le mouvement du collier de ...
... perles sur son dos !) et ses boucles blondes s’agitant sur le bas-ventre d’un autre me rendait pratiquement fou de plaisir. Elle se retira juste avant qu’il jouisse. Calmement, elle se leva en ramassant ses affaires et, se dirigeant vers la salle de bains, me demanda : — Laurent, peux-tu raccompagner notre hôte ? Bonsoir, monsieur Daniel, car nous ne devrions pas nous revoir avant l’appel d’offres. Sans un mot, je reconduisis l’homme vers la porte. Il avait retrouvé son sourire et me salua chaleureusement en me remerciant. Il pouvait. Je rejoignis Caroline dans la salle de bains. Elle avait commencé à prendre une douche. Je lui déclarai à travers le rideau, d’un air étonné : — Tu ne dois pas faire la manip’ avec la poignée ?— Non, c’est inutile maintenant. Grâce à ta photo. J’avouai ne pas comprendre et elle interrompit sa douche pour s’expliquer : — La société Visiotec n’appartient pas à Daniel, comme il aime à le prétendre, mais à sa femme. Je l’ai découvert en épluchant le dossier de l’entreprise. Elle est issue d’une famille très riche, et très réputée. Si cette photo sort, elle sera obligée de l’éconduire, ne serait-ce que pour préserver son image. Il se retrouverait ainsi mis à la porte, sans aucun moyen. Nous avons donc un moyen de pression d’autant plus efficace que je n’apparais pas sur la photo de manière explicite, et qu’en plus mon mari est déjà au courant ! Je tiens ainsi Visiotec sous mon contrôle. J’étais bouche bée. Avait-elle prémédité le déroulement complet de ...