1. Le maillot manquant


    Datte: 23/10/2017, Catégories: hh, fhh, vacances, hotel, Oral hsodo, confession,

    ... sauront pas… » Ils s’embrassent toujours mais leurs mains ne sont pas inactives. Elles se glissent entre polo et peau, tirent sur les ceintures, dézippent la fermeture Éclair et révèlent deux corps nus. Deux corps de mâles déjà en rut. Chacun s’empare de la verge de l’autre et la branle sans que leurs lèvres ne se quittent. Étrange spectacle que ces deux corps bronzés sans aucune trace de maillot. Guillaume a peut-être été choqué de ma féminité affichée aux yeux de son amant, mais en tout cas il a dû en voir d’autres sur la plage naturiste. À moins, à moins qu’il existe une partie réservée aux gays. Beau spectacle que ces belles queues maintenant bien raides et tendues, caressées l’une à côté de l’autre, l’une en face de l’autre. Marc abandonne les lèvres de son ami pour aller lui sucer les seins. Il s’attarde un peu, mais d’une flexion des genoux, le voici face au gros bâton de Guillaume. Je l’avais trouvé efféminé ; je le découvre propriétaire d’une queue redoutable. J’ai une vision parfaite de la scène, et comme dans un rêve je vois les lèvres s’ouvrir pour aller sucer le gland totalement découvert. Les bourses disparaissent dans la paume des mains. C’est magique. Que ce soit un homme ou une femme, une bouche est une bouche, et y voir disparaître la queue magnifique est un cadeau. Je n’en peux plus. C’est la goutte qui fait déborder le vase, et rien ne peut me retenir de me caresser. Ma chatte n’est qu’une flaque que je lutine et dont le clito est un volcan que j’attise. ...
    ... Mes seins sont une poudrière, et il suffit d’un attouchement sur le téton pour que je jouisse. Les yeux grands ouverts, je me caresse, me repaissant de ce spectacle, une main sur ma chatte, l’autre qui virevolte d’un téton à l’autre. Putain, que c’est bon… Jamais je n’aurais pensé que la vision de deux hommes puisse me donner tant de plaisir. Le plaisir me trouble. La jouissance m’assaille. Je perds l’équilibre mais me rattrape au bord de fenêtre. Horreur ! Malheur ! Le bruit est net et franc. Je vois Guillaume sursauter et me découvrir. — Mais… D’un bond il est sur moi. — Encore vous ! Il m’entraîne dans leur chambre. Je ne sais que faire. Je ne sais que dire. Marc se relève. — Tiens, regarde qui nous mate ! lui dit Guillaume en me poussant vers lui avec force. J’atterris entre ses bras. — Calme-toi, tu lui fais peur.— Mais…— Ce n’est pas si grave. Elle regardait, c’est tout.— Tu la défends. Oh, je sais bien qu’elle t’avait tapée dans l’œil. L’homme paraît tout à coup fragile. Il s’assied sur le lit. Son sexe s’est replié, mais reste encore imposant. Marc me fait signe de ne rien dire. Il me montre une chaise. J’hésite, mais je me sens coupable et j’obéis. Lui va vers son ami, le cajole, lui parle à l’oreille, caresse la verge qui reprend de la vigueur. À nouveau il s’agenouille. À nouveau il suce son amant, aspire la bite, la lèche tout le long, la soulève pour aller lécher l’anus. Guillaume s’est allongé et se laisse faire, grognant régulièrement lorsque sa queue disparaît ...
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