1. Le maillot manquant


    Datte: 23/10/2017, Catégories: hh, fhh, vacances, hotel, Oral hsodo, confession,

    ... train pour retrouver ma petite famille. Un peu de nostalgie. Un peu d’impatience ! En tout cas, je n’arrive pas à dormir. J’ai passé quelques jours merveilleux, de repos, de soleil et de plage. Il a fait beau tout le temps. Encore un mois de juin record ; en tout cas, je ne vais pas m’en plaindre. Lasse d’attendre le sommeil, je vais sur le balcon. Au moins je peux rêver sous le ciel étoilé. Mes fesses découvrent la fraîcheur du plastique de la chaise. Ma nuisette laisse passer la petite brise sur mon corps et sèche la transpiration. Il fait chaud dans la chambre, mais je sais aussi que ce n’est pas seulement la température extérieure qui m’étouffe : c’est aussi la brûlure de mon corps. Depuis deux heures, je résiste à l’envie de me caresser. Cela fait plusieurs jours que j’ai quitté mon homme et il me manque. Sa bouche me manque, surtout lorsqu’elle me suce le minou. Son sexe me manque, beau bâton de chair que j’aime pomper, et surtout sentir en moi. Je résiste. Je résiste. Je veux rester "vierge" pour des retrouvailles que je sais grandioses. Je sais que lui aussi m’attend et qu’il ne s’est pas branlé pour garder toute sa vigueur. C’est comme un pacte muet entre nous. Dès qu’il va me toucher, je vais jouir. Dès que je vais le sucer, il va me balancer sa crème. Après, nous allons recommencer, plus lentement, plus doucement, pour faire monter le plaisir et nous amener à la jouissance ensemble. Il faut que j’arrête d’y penser. C’est trop dur. Soudain le balcon s’éclaire ...
    ... juste à côté. Il faut dire que, manifestement, j’occupe la chambre "enfants" d’une suite dont la porte de communication avec la chambre "parents" est fermée. Par contre, le balcon est continu entre les deux. Jusqu’à ce soir, je n’avais pas vraiment fait attention à ce détail, passant la grande majorité de mon temps dehors. J’avais juste apprécié que l’insonorisation entre les deux chambres était efficace, ne supportant pas que l’on puisse entendre d’une chambre à l’autre tous les moments de la vie. L’éclairage diminue, me replongeant dans une douce obscurité. Mais la fenêtre s’ouvre. — Quelle chaleur ! On aurait dû laisser la fenêtre ouverte, dit un homme qui passe la tête dehors. Je me recroqueville car ma nuisette ne cache pas grand-chose, et en plus je reconnais un des gars du couple gay. Il n’est pas seul ; l’autre arrive derrière et l’enlace. — Marc, viens, mon chéri, j’ai envie de toi. Toute la soirée tu m’as excité. C’est Guillaume qui est derrière et qui câline son ami dans le cou. Il suffit à Marc de tourner la tête et les deux hommes s’embrassent. Je n’ose respirer de peur qu’ils me découvrent et apparaître comme une voyeuse. Heureusement ils reculent, et toujours enlacés rentrent dans la pièce. Je me lève le plus délicatement possible pour rentrer moi aussi, mais une curiosité malsaine me pousse pour aller regarder. Je n’ai jamais vu deux hommes faire l’amour. « Juste quelques minutes et j’arrête,pensé-je,juste pour voir comment… qui fait quoi. De toute façon, ils ne ...
«1234...8»