Lettres d'une femme mariée - 3
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
massage,
entreseins,
Oral
fsodo,
lettre,
confession,
... de ma peau… de la fermeté de mes seins. Il ne les caressait plus vraiment, mais les massait, les pétrissait, comme si, tel un artisan, il souhaitait en apprêter la forme avant de leur accorder une attention plus fine et rigoureuse… Et c’est ce qui se passa ! Finalement il vint s’agenouiller entre mes jambes, mais ce ne sont pas elles qui pour l’instant retenaient son attention. Autant il avait été doux et d’une patience infinie lorsqu’il était placé derrière moi, autant en m’offrant le spectacle de son regard vicieux irrésistiblement porté sur ce qu’il appelait mes superbes nichons, il m’apparut dévoré par un désir sauvage et soudainement brutal. Il fit sauter deux boutons de mon corsage et ne dut pas prêter une attention extrême à la finesse délicate de ma lingerie, car il découvrit un de mes mamelons pour le téter aussitôt, goulûment, comme un jeune veau l’aurait fait, ayant été sevré durant plusieurs jours des mamelles gorgées du lait de sa mère ! En me tétant, en me suçant, en aspirant bruyamment mes bouts de seins, il me fit pousser les premiers soupirs qui commençaient à entrecouper mes phrases. Mon excitation était soudaine, brutale, savoureusement inédite… tu ne m’avais jamais sucée comme ça ! Comme si sa violence ne suffisait pas, je voulais en rajouter, et comme je ne pouvais le faire par les mots, concentrée encore en partie par ma lecture, je lui agrippai d’une main la tignasse comme pour me branler la poitrine avec sa bouche. Il se mit alors à mordiller mes ...
... tétins, puis à les mordre sans trop de ménagement, mais je n’eus aucun geste de recul, bien au contraire. Et tout en lui signifiant de ma main libre combien j’appréciais également cette étreinte douloureuse, je dus cette fois interrompre ma lecture… — N’arrêtez pas ! Mordez-les moi plus fort ! Bouffez-moi les nichons ! Je n’en revenais pas, que ces paroles sortent de ma bouche ! J’avais l’impression d’être devenue quelqu’un d’autre… et pourtant j’étais cette même femme discrète et sérieuse, un peu honteuse aussi de lui avoir lu tes lettres. C’était moi, l’épouse et la mère de famille, jusqu’ici bien sage et réservée, qui me mettais à éructer des obscénités à l’égard d’un homme qui n’était pas mon mari et que je vouvoyais ! — J’ai envie de vous ! C’est tellement bon de vous sentir me dévorer les seins… J’ai envie de votre bite ! … S’il vous plaît baisez-moi ! Je veux vous sentir en moi ! Je ne savais plus moi-même où j’étais et je crois qu’à cet instant je me serais peut-être laissée me faire baiser par n’importe quel inconnu ! Il faut dire que mon « amant de travail » se montrait sous un jour nouveau ! Je n’étais plus en présence que d’un rustre, d’un « mâle dominant » décidé coûte que coûte à satisfaire ses pulsions ! Quant à moi, je m’apprêtais à lui offrir l’abandon le plus total de mon corps, après lui avoir livré celui de mon esprit. C’est avec cette même rudesse qu’il a abandonné brusquement mes seins pour enfouir sa tête sous ma jupe. Le mot sauvagerie est ce qui correspond ...