1. Lettres d'une femme mariée - 3


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme massage, entreseins, Oral fsodo, lettre, confession,

    ... le mieux à son comportement soudain. De même, je me sentais désormais plus femelle que femme, comme si j’étais envoûtée et gagnée par cette part de bestialité qui semblait exulter de tout son être. L’homme qui me lapait la chatte sans aucune tendresse, évidemment j’avais conscience que ce n’était pas toi ! Et je dois dire que c’était bon aussi parce que c’était la première fois, la première fois que je me faisais brouter comme cela… Mais curieusement à ce moment-là, je n’avais pas non plus l’impression que cet homme entre mes cuisses, c’était Michel. Il n’était plus ce patron, exigeant mais patient, qui aimait faire durer le désir, qui aimait savourer l’idée que je puisse un jour m’offrir à lui. Je le voyais pourtant qui fourrait désormais sa langue dans mon minou ! Bientôt, il se mit à sucer mon clito avec la même gourmandise et la même vigueur que mes bouts de seins l’instant d’avant. En me penchant vers eux pour en éprouver l’état, je ne les reconnus plus, eux aussi… Ils étaient rouges et tuméfiés comme de petites verges, qui auraient voulu encore tellement qu’on les agace et les flatte ! Là encore, je me rendis compte que la montée de mon plaisir était associée à une exquise douleur. Celle de sentir le frottement énergique de son visage sur mon sexe, de sa bouche, de sa langue, de son nez, fouinant sans ménagement au tréfonds de mes petites lèvres. Par la suite, ce sont mes propres mains qui ne se sont plus contentées de caresser et de masser mes seins, mais désormais ...
    ... les pinçaient, les griffaient sans aucun ménagement. Mon plaisir sans équivoque devenait celui d’une jouissance délicieuse de caresses sensuelles, mêlée de la saveur de la souffrance qui imprégnait mes chairs. Et puis rapidement, cela ne me suffit plus. Je n’en pouvais plus de lui… Il fallait qu’il me prenne ! — Baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-moi !… Mon amour !… Il n’en fallait pas plus. Déjà, il s’était extirpé de ma jupe pour saisir soudainement mes chevilles. Il releva mes jambes sans ménagement et arracha ma culotte. Il avait devant son visage, rougi par ses profondes caresses autant que par son désir sauvage, le spectacle de mon sexe nu tout aussi écarlate. Celui-ci était à peine paré de poils fins que j’avais pris soin de tailler soigneusement, rien que pour lui, en un petit triangle, comme un écrin pour l’accueillir… Mais il ne s’attarda pas longtemps sur ce touchant spectacle d’une femme à l’abandon, qui offre ce qu’elle a de plus cher et de plus intime à un homme qui n’est pas son mari ! Déjà il avait glissé sa verge en moi ! Enfin, je lui appartenais complètement, exclusivement et totalement ! Je ne peux pas te décrire à quel point j’étais heureuse et comblée ! Je me faisais baiser par mon patron chéri ! Il me besognait avec la brutalité et la maladresse d’un puceau, mais aussi avec la même fougue qu’un soupirant accédant enfin, après des années, aux appâts les plus convoités d’une princesse ! Il me pilonnait sans délicatesse. Quel plaisir que d’accompagner ses ...
«1234...19»