1. La séance, c'est après le ciné


    Datte: 24/10/2017, Catégories: fh, hbi, asie, extracon, cinéma, volupté, fdomine, intermast, Oral préservati, pénétratio, hdanus, humour,

    ... affreusement normale. Ai-je satisfait votre curiosité ? J’en reste bouche ouverte, mâchoire pendante, muet. Drôle de gonzesse ! Plus que ses mots, c’est l’intensité de son regard qui m’a pétrifié ; le message qu’il fait passer, à la fois ironique, sensuel, pétillant de malice. Heureusement, je suis sauvé par le gong : les lumières s’éteignent. Les premières bandes annonces sont lancées. Cela ne l’arrête pas. Se penchant vers moi, approchant sa bouche de mon oreille, elle me lance une nouvelle pique : — Et vous Monsieur D… vous avez laissé votre charmante épouse tricoter devant la cheminée ? Son souffle dans mon oreille, son parfum oriental titillant mes narines. Ça me picote dans la colonne vertébrale. Plus d’une décennie qu’une femme ne m’a pas fait cet effet. À mon tour, je m’incline vers elle, me penche à son oreille, oreille qu’elle a gentiment ourlée sans boucle inutile : — Non ! À cette heure son avion doit atterrir à Sofia. Elle m’a abandonné pendant une semaine entière, larmoyé-je. Immédiatement sa bouche à mon oreille : — Et vous en profitez aussitôt pour sortir en célibataire et aborder la première femme venue. Bon d’accord, elle se fout de ma gueule. Ok, nous allons être deux. Ma bouche à son oreille : — Vous n’êtes pas la première femme venue ! Une mesure de silence et je rajoute : — À moins que vous ayez changé de prénom, vous ne vous appelez pas Ève. Ma voisine part dans un éclat de rire à réveiller un mort. Venant de la salle : — P… vous allez la fermer ! On a ...
    ... payé nos places ! Madame Dupuis, hoquetant, s’agrippe à moi pour essayer de calmer son fou rire. Je sens son sein, ou plutôt son absence de sein contre mon épaule. Pas de soutif sous son chemisier. Une petite (toute petite) framboise ferme se frotte à mon t-shirt. Ses cheveux me chatouillent le nez. Pas possible, j’ai un début d’érection. Enfin, elle retrouve son calme, son souffle, son sérieux. Elle s’écarte de moi avant de nouveau se rapprocher : — Je suis désolée mais j’ai eu une journée difficile et en plus, vous m’avez bien eue. Le film commence. Fin du premier round. Le début du film est parfaitement prévisible. Je retrouve avec plaisir une vieille habitude d’étudiant (oui, je sais c’était avant la guerre !) : délirer sur le film en direct, ricaner sur le jeu des acteurs, anticiper sur les actions. Depuis son fou rire, une connivence s’est établie. Chaque commentaire est accompagné d’attouchements complices. Main sur la manche de son chemisier. La soie, c’est quand même autre chose que l’acrylique. Sa main sur mon bras dénudé. La douceur de celle-ci, autre chose que la rugosité de certaines mains qui m’ont tâté les fesses. Nos épaules ne se quittent plus guère, secouées par les mêmes rires silencieux. Son jean contre mon jean. Son petit sein gauche en contact intermittent avec mon bras. J’en oublie parfois le film, imaginant ces deux petits oisillons douillettement nichés dans la soie. Certainement plus petits que les miens mais avec un tout autre galbe. Les empaumer ! ...
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