L'entretien d'embauche - Histoires de Sexe

L'entretien d'embauche

... sont pas toujours ponctuels. De plus, pour l’écart sur l’heure, ta montre n’est peut-être pas bien réglée. Cependant, ton impolitesse est inadmissible !— Je m’excuse Madame, pour mon retard de ce matin.— Ça ne fonctionne pas ainsi, Hélène ! Si je laisse passer ton offense aujourd’hui, dans une semaine que te permettras-tu de faire ? ******************** Je suis conne ! Pourquoi n’ai-je pas fait amende honorable ? J’ai vraiment besoin de cet emploi. Elle ne va quand même pas me renvoyer chez moi pour si peu ? — Je… je vous promets que je ne le referai plus et que je ne serai plus en retard.— Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Personnellement, je préfère une punition, car son souvenir marquera davantage ta mémoire. Une fessée par exemple ! Je la regarde surprise. Mais elle est folle ! À quarante-deux ans, j’ai passé l’âge d’être fessée. Je vais pour me lever, mais mes jambes refusent de me porter. Que m’arrive-t-il ? Je me sens toute chose. Mes tétons s’érigent et viennent se compresser contre le tissu de mon nouveau corsage. Ma gorge se noue. Bien que je sois profondément choquée, mes sens n’ont pas l’air d’être d’accord avec ma raison. Je suis encore à essayer de me mettre debout lorsque je l’entends réfléchir à haute voix. — Non, cette faute ne peut pas être punie par des sévices corporels. Il faut trouver quelque chose en rapport avec le délit. Je la regarde se « battre » contre elle-même. Sa pudeur l’empêche pour le moment d’oser goûter à un « fruit » qui ...

... visiblement lui fait envie. Elle doit lui susurrer à l’oreille que c’est mal, que ça ne se fait pas dans la « bonne » société française à laquelle elle appartient encore. — Tu as acheté tes vêtements parce que je t’ai demandé de te faire belle ou pour l’entretien ? Je rougis, car elle a remarqué mes nouveaux habits. Elle s’intéresse à moi. Qu’est-ce que je dis-moi ? Ils ne lui sont pas destinés, c’est pour l’entrevue. Mais alors pourquoi ai-je pris le porte-jarretelles et ai-je imaginé le porter lorsque je me suis caressée la nuit dernière ? — Hélène, tu es avec moi ?— Oui, Madame. Euh… non.— Je ne te comprends pas, car tu te contredis toi-même.— Vous pouvez répéter votre question, Madame, s’il vous plaît ?— Bien sûr, Hélène. Je te demandais la raison pour laquelle tu as acheté tes beaux vêtements. ******************** Ne voulant pas y passer la journée, il est temps de lui donner le coup de grâce. D’autant plus, que Mademoiselle l’attend dans ses appartements pour son propre intérêt. Je contourne donc mon bureau et me positionne devant elle. Je prends sa mâchoire inférieure dans la paume de ma main droite afin de la mettre debout tout en lui disant d’une voix coquine. — De toute façon peu importe la raison, car tout comme toi, ils m’appartiennent désormais. Je romps le contact physique entre nous deux. Plus petite que moi, elle lève la tête pour me fixer du regard. Je la sens plus que jamais en train de lutter. Elle finit par tourner les talons et se diriger vers la porte. Je ...