L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... ******************** Elle est au centre de mon bureau, j’ai remporté la victoire. Elle a troqué son libre arbitre pour ce que je lui offre. De toute façon, elle m’appartient depuis que je l’ai choisie. Soit, elle reste au domaine, soit elle dort sous les ponts, et ça, je pense qu’elle l’a bien compris. Oui, j’ai gagné, mais il me faudra la dresser afin d’abattre toutes ses barrières psychologiques. Ce processus se fera par petites touches, à son rythme. Pour le moment, ce que j’exige d’elle est au-dessus de ses forces. Plus tard, elle se réjouira que je lui demande d’enlever son linge de corps, mais pas à ce stade. Aujourd’hui, sa pudeur l’en empêche. Elle me supplie de la secourir, je vais répondre à sa requête. Je vais lui prouver qu’elle peut avoir confiance en moi. Je prends ma voix la plus avenante. — Si tu n’y arrives pas par toi-même, tu peux me demander de l’aide Hélène. Elle me regarde tout en sanglotant. Son maquillage est dans un sale état. — Madame, s’il vous plaît… Est-ce que… Je vais devoir l’encourager, car la fin de sa phrase reste en suspens. — Oui, Hélène, je t’écoute, que veux-tu ?— Pouvez-vous m’aider, Madame ? S’il vous plaît… Je m’approche d’elle tout en lui disant : — Tu vois, ce n’est pas si difficile que ça. Bien sûr que je vais le faire. Mon visage fermé, je déboutonne lentement son chemisier avant de lui enlever. Elle a un joli soutien-gorge tout noir. Je me colle à elle pour passer mes bras dans son dos afin d’atteindre l’attache que je fais ...
... sauter. En récupérant le tissu, je remarque que ses mamelons sont érigés. Elle est excitée la coquine. Du bout de mes doigts, j’effleure d’une fausse inadvertance l’extrémité de ses seins. Son buste bouge légèrement, suivant le mouvement de mes mains vers l’avant. Je m’accroupis et, au lieu de retirer sa jupe, je passe mes deux mains dessous à la recherche de sa petite culotte. Je la trouve, mais je n’arrive pas à la faire glisser le long de ses jambes. Je lève la tête à la rencontre de ses yeux. Elle a arrêté de pleurer et j’y lis à la fois de la reconnaissance mêlée à de la honte. Je détache sa jupe qui tombe à ses pieds sur le carrelage. Je comprends alors la raison pour laquelle je ne suis pas arrivée à la déculotter : son slip est pris à l’intérieur des jarretelles. Je défais ces derniers tout en lui expliquant. — Tu as de très beaux sous-vêtements Hélène. Cependant, lorsque tu portes ce type de lingerie, il faut passer les jarretelles en dessous de ta petite culotte, sinon tu seras gênée quand tu devras aller aux toilettes. Souviens-t-en, car avec ton uniforme, tu en auras un avec des bas blancs. Je finis par récupérer mon « cadeau ». Je remarque que la partie du tissu recouvrant le bas de son coquillage est légèrement mouillée et ce n’est pas de la sueur. Gentille, je ne fais aucun commentaire, car ça la mettrait encore plus mal à l’aise. Toutefois, c’est de bon augure pour ce qui l’attend dans le bureau de Mademoiselle. Je la rhabille et lui sèche les joues. Je sors un ...