1. L'entretien d'embauche


    Datte: 24/10/2017, Catégories: f, ff, fplusag, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, soubrette, noculotte, BDSM / Fétichisme ffontaine, Masturbation sm,

    ... tes besoins. Profite du voyage. J’entends cette voix en qui j’ai confiance. Qui, je suis certaine, saura me combler. Je m’abandonne davantage. Deux doigts prennent possession de mon vagin. Lorsqu’un troisième les rejoint, je pousse un long feulement pour lui fêter la bienvenue. Ma respiration se fait haletante. Tout mon corps suit le rythme de ses piques qui coulissent à l’intérieur, en caressant ma paroi vaginale. Sa paume frappe mon clitoris en cadence. Mes mamelons sont pincés très fort à tour de rôle. Un raz de marée se forme dans le haut de mon corps avant de le parcourir lentement. Les doigts dans mon « coquillage » partent vers la droite en me faisant légèrement tourner sur moi-même. Mes escarpins, emmêlés dans ma jupe au sol, suivent le mouvement par petits pas. Toujours les yeux fermés, je ressens des morsures dans mon cou. Que c’est bon ! De nouveau immobile, je repositionne mes pieds. Je n’ai jamais éprouvé une telle sensation de bien-être. Le cône dans mon vagin accélère son pilonnage. La vague gonfle davantage, j’ai du mal à rester debout. — Ouvre les yeux, Hélène. Pourquoi devrais-je le faire ? Dans quelques secondes, le tsunami va m’écraser. Cependant, la voix se fait insistante au-dessus de moi. — Je t’ai dit d’ouvrir les yeux, Hélène, obéis ! Mon plaisir semble s’être arrêté à son point culminant en précaire équilibre. Aussi, je lève mes paupières. Lorsque mes pupilles se sont réhabituées à la luminosité ambiante, je vois l’héritière qui me regarde debout à ...
    ... quelques enjambées devant moi. Les pas effectués il y a quelques instants me font maintenant tourner le dos à la grande cheminée. La honte de ma luxure me submerge. Je lui crie silencieusement de porter son attention ailleurs, de ne pas me détailler comme elle le fait… Toutefois, je n’ai pas le temps de m’en inquiéter davantage, car un doigt appuie sur un endroit bien précis à l’intérieur de mon vagin pendant que d’autres pincent mon clitoris. Le raz de marée vient de se fracasser sur mon être. Mon bassin s’écarte en avant et je pousse un long et puissant cri de plaisir. Mon puits d’amour enserre par spasmes les « piques » restés à l’intérieur. J’ai refermé les yeux. Mes jambes ne me portent plus. Je tombe ! Cependant, un bras encercle vigoureusement ma taille afin de ralentir ma chute. Une fois sur le parquet, je m’allonge recroquevillée sur moi-même en position de fœtus. Je continue de cuver ma jouissance par soubresauts. Je somnole et me sens soulevée dans les airs. Après quelques secondes, ma peau rentre en contact avec une surface chaude et douillette. Des voix parlent au loin, mais je ne comprends pas ce qu’elles disent, je m’endors. ******************** — Si vous la mettez sur mon canapé, elle va tacher le cuir avec ses sécrétions intimes. La voix chantante de ma maîtresse hèle sa demoiselle de compagnie avant de lui ordonner d’aller chercher un gant, un récipient rempli d’eau, des petites pièces de linge en éponge et un slip de maintien extensible avec une serviette ...
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