1. L'entretien d'embauche


    Datte: 24/10/2017, Catégories: f, ff, fplusag, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, soubrette, noculotte, BDSM / Fétichisme ffontaine, Masturbation sm,

    ... perçant qui m’hypnotise. Au contact de son doigt chaud sur ma mâchoire inférieure, des fourmillements envahissent mon cou, puis mes épaules avant de se répandre au reste de mon être. Après ce qui me semble une éternité, je retrouve ma mobilité lorsqu’elle retire son index. Apeurée, je me lève en faisant crisser la chaise sur le parquet et me précipite vers la porte. J’actionne la poignée, mais la porte ne s’ouvre pas ! — Hélène ! J’entends au loin mon prénom. Je me retourne affolée pour constater qu’elle s’est rassise derrière son bureau durant ma tentative de fuite. Elle tient entre son pouce et son index un petit anneau soutenant une clef. Suivant le mouvement de son poignet, cette dernière se balance d’avant en arrière comme une clochette. Elle finit par la jeter négligemment sur la nappe. D’une main, la paume vers le haut, elle me la montre, me défiant de venir la chercher. N’ayant pas le choix je m’avance à petits pas, à la fois craintive et remplie d’espoir. — Je te propose, Hélène, un poste fixe, un CDI à plein temps. De plus, contrairement à ton ancien emploi, tu auras ton job jusqu’à ta retraite, car le domaine ne fermera pas, lui. Je t’offre donc la sécurité, un toit sur ta tête, l’assurance de trois repas par jour et des vêtements sur mesure. Je ne te parle même pas du salaire plus que généreux. Toutefois, en contrepartie je demande une obéissance totale. Tu seras amenée à servir la Haute Société parisienne. Il faudra donc te former pour ne pas faire honte à tes ...
    ... employeurs. Es-tu celle que je recherche ou seulement une pimbêche qui m’a fait perdre mon temps ? Sa tirade renforce ma première impression : cette femme est folle à lier ! De plus, elle a osé m’enfermer avec elle dans cette pièce. J’écoute ses boniments, mais pour rien au monde je ne travaillerai pour elle. Je suis presque arrivée à son bureau. Après avoir fini de parler, elle s’est adossée dans son fauteuil, jambes et bras croisés. Elle m’observe, le sourire aux lèvres, et a l’air de savourer ce moment comme un chat qui joue avec une souris. Lorsque j’évite ses yeux qui m’ont hypnotisé tout à l’heure, mon regard s’arrête sur un bout de jarretelle que sa posture dévoile. Celui-ci virevolte à présent de la clef à l’attache maintenant son bas. Pourquoi suis-je attirée par ce morceau de tissu ? Porter ce genre de sous-vêtement à notre époque et surtout en été, c’est n’importe quoi ! Je ne réponds pas à sa dernière question qui, j’en suis certaine, n’est que purement rhétorique. Tout en la surveillant du coin de l’œil, je m’empare de mon sésame et me précipite vers la porte. ******************** Mon sixième sens ne m’avait pas trompée, elle a bien un potentiel caché. Je pèse alors dans ma tête le pour et le contre : elle n’a aucune expérience pour ce travail, mais elle n’aura pas de défauts. Notre discussion a révélé un certain savoir-vivre. Elle s’exprime dans un français correct et d’après les tests qu’elle a passés, elle possède une intelligence dans la norme. Ce n’est pas un ...
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