Nadine, la vengeance d'une maman (21)
Datte: 08/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Je ne sais plus qui a dit que le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte les escaliers, mais c’est ce que j’ai ressenti quand j’ai compris que Maman était en train de les monter avec moi. Elle connaissait mes intentions, pourtant elle ne se dérobait pas ; elle n’attendait que ça. J’aurais aimé qu’elle me résiste un peu, surtout après tout ce qu’elle m’avait dit, mais j’étais bien placé pour savoir qu’elle changeait vite d’avis une fois qu’elle était excitée. J’ai appuyé sur son dos pour la plier sur l’évier, le buste dans le bac à vaisselle, les jambes à angle droit. Elle s’est laissée manipuler servilement, a soulevé son derrière en creusant les reins. Qu’est-ce qu’elle pouvait être salope, quand même ! Je n’en revenais pas. J’ai enfoncé mon index dans son fondement, pour la préparer sans la lubrifier. L’idée de l’enculer à sec, alors que mon père se douchait juste à côté, me remplissait d’une joie malsaine. Je lui en voulais pour les horreurs qu’elle avait dites, j’avais envie de la faire payer. Je lui ai travaillé l’orifice anal d’un doigt, avant d’en introduire un autre. J’ai les ai enfoncés, les ai fait tourner dedans. Elle gémissait, disait non avec sa tête, pourtant elle m’a laissé lui dilater le trou du cul docilement. Calmement, lentement, j’ai posé mon gland sur la pastille, et j’ai poussé pour m’introduire dans le conduit. — Fais doucement, a-t-elle soufflé, en écartant elle-même ses fesses à deux mains. Je l’avais sodomisée à de nombreuses reprises, ...
... mais jamais dans un tel contexte. Il faut imaginer le tableau : ma mère, complètement nue, qui ahanait, et moi derrière, agrippé à ses hanches, qui me servais de son anus comme d’un vagin. Je voyais ma queue entrer et ressortir du cul maternel. Le spectacle était hallucinant. De temps en temps je m’arrêtais, la bite plantée au fond de son cul, et je me remplissais les mains de ses seins. J’entendais la douche, l’eau qui coulait ; Papa faisait sa toilette sans se douter de rien. — Fais vite, Maxime, ton père ne va pas tarder. — Mais non, voyons, il ne s’est pas encore rasé… Arrête un peu de stresser. — Sois plus doux, s’il te plait, tu me fais mal ! Je me suis calmé comme elle me le demandait, j’ai arrêté de la pilonner, j’ai ralenti la cadence. — Voilà… c’est beaucoup mieux comme ça. — Dis-moi, Maman, je veux savoir… laquelle tu préfères, celle de Papa ou la mienne ? — La sienne est plus grosse, mais je préfère la tienne… elle me remplit mieux. — Il a une plus grosse queue que moi ? Vraiment ? — Tu n’as aucune raison d’être jaloux, mon chéri… la tienne me rend folle… je n’arrête pas d’y penser. C’était fou, ce dialogue. Nous étions en plein délire tous les deux. Nous avions perdu tout sens de la bienséance. Seul le plaisir comptait. Elle avait peut-être raison, finalement : ce n’était pas l’amour, mais bien le sexe qui nous unissait. — Ecoute Maman, je ne peux pas t’empêcher de baiser avec lui, c’est ton mari, comme tu dis… mais jure-moi que tu ne lui permettras jamais de ...