Nadine, la vengeance d'une maman (21) - Histoires de Sexe

Nadine, la vengeance d'une maman (21)

... Je ne pensais pas que ma tenue te choquerait autant… On ne va pas en faire tout un plat, n’est-ce pas… On passe à autre chose, d’accord ? Elle s’est approchée de Papa, l’a enlacé ; elle l’a embrassé, a enfoncé la langue dans sa bouche. Il a sursauté comme si elle l’avait mordu, l’a regardée les yeux écarquillés. Tout, dans son attitude, indiquait qu’il se demandait vraiment si elle n’était pas devenue cinglée, quelle mouche l’avait piquée. Maman a éclaté de rire. — Bon, et bien c’est réglé… je vais me changer, et après j’irai faire des courses… tu veux venir avec moi, Maxime ? — Bien sûr Maman… si tu as besoin de moi, je suis à ta disposition. Mon père n’exagérait pas. Maman n’était pas seulement indécente. Elle était, de la tête aux pieds, une invitation à la luxure, un appel à la débauche. Sa petite robe moulante mettait outrageusement en valeur les courbes de son corps, elle ne dissimulait rien du volume de ses gros seins. D’abord la robe, après le baiser ; le doute n’était plus permis. Elle ne l’avait pas embrassé pour se faire pardonner. C’était plus subtil, et beaucoup plus pervers. En glissant sa langue dans la bouche de mon père, elle lui avait donné à gouter, symboliquement, mon sperme qu’elle avait eu dans la sienne. J’avais compris le message qu’elle voulait me faire passer. Je lui ai souri. Elle m’a fait un clin d’œil lourd de conséquences, qui me confirmait que je ne m’étais pas trompé, et puis elle a baissé les yeux en rougissant. Superbe Maman. Je l’aimais tellement. On venait de se retrouver tous les deux. Qu’est-ce que j’étais heureux. J’aurais aimé pouvoir la suivre dans sa chambre et la baiser toute la journée. Mais ce n’était pas possible, alors j’ai soupiré, en me disant qu’elle ne perdait rien pour attendre…