1. Maria


    Datte: 09/01/2021, Catégories: h, fh, hplusag, Collègues / Travail religion, poilu(e)s, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, nopéné, uro, confession,

    ... ta faute, cochonne…— Allez vas-y, j’en ai trop envie, tu peux vérifier, que j’en ai pas, de culotte, vas-y, s’il te plaît, allez… Et en même temps, toujours sur le prie-Dieu, elle écartait les genoux et se cambrait, sortant les fesses. La salope, elle m’excitait trop ! Je glissai ma main par derrière sous la jupe et remontai le long de sa cuisse. Ses fesses étaient nues, et quand j’arrivai à son entrejambe, les frisures de sa toison étaient déjà humides, et je commençai à lui caresser la chatte. — Vas-y, mets-moi les doigts… Ils rentrèrent comme dans du beurre tellement elle était déjà ouverte. Elle respirait fort au rythme de ma caresse et psalmodiait à voix basse un mélange improbable de prières et de paroles de plaisir : — Mon Dieu, vous êtes grand… Que c’est bon, ouiii, oh, mon Dieu, oui encore, comme ça… Oui vous me donnez le plaisir… Oh merci, mon Dieu… J’avais l’index et le majeur qui clapotaient dans sa chatte et tout naturellement mon pouce se retrouva dans sa raie du cul. Je commençai à lui titiller son petit trou et elle me souffla : — Oui, là aussi, vas-y, s’il te plaît… Je n’eus aucun mal à lubrifier mon pouce en allant le balader rejoindre ses collègues les autres doigts. Puis je le présentai à nouveau à l’entrée de son fondement, poussant doucement, petit à petit il s’enfonçait, jusqu’à ce que comme aspiré il y disparaisse tout entier, arrachant à la pieuse en prières un gémissement : — Oh ouiii, oh mon Dieu… J’en avais tellement envie depuis longtemps de lui ...
    ... enfiler son anus, de la sodomiser sauvagement, et je le faisais par pouce interposé, à défaut de mon sexe. Je la besognai à fond des deux côtés et elle jouissait manifestement de plus en plus, mais à ce moment je vis quelqu’un entrer dans l’église. Sans arrêter mon manège, de l’autre main plaquée sur sa bouche je la bâillonnai carrément pour étouffer ses gémissements. C’était une vieille bigote qui était allée s’agenouiller à quelque distance de nous, qui ne nous regardait pas mais pouvait entendre. À ce moment, probablement encore plus excitée par le fait qu’elle sentait une présence, je perçus sur mes doigts la contraction de son vagin et de son sphincter qui signifiait son orgasme pendant qu’elle me mordait la main comme une sauvage, peut-être pour s’empêcher de faire résonner l’église de ses cris de jouissance. Voilà, elle avait fini, la coquine. Excité comme jamais, je retirai ma main, suçai mon index et mon majeur encore tout mouillés et flairai mon pouce comme une bête en rut que j’étais devenu, avant de tout essuyer dans un Kleenex. Après avoir fait sa prière de remerciement, comme d’habitude, elle envoya la main à ma braguette pour à nouveau expertiser ma bandaison et me fit : — Houlà, tu as un gros besoin toi aussi. Viens, mets-toi debout devant moi, je vais te sucer.— Tu es folle, pas ici, voyons. Allons chez toi, tu me termineras là-bas.— Non, non, j’ai envie que ça soit ici ! Dois-je l’avouer, moi aussi j’étais sacrément excité par ce sacrilège, si l’on peut dire… ...