Maria
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
religion,
poilu(e)s,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
nopéné,
uro,
confession,
... Debout devant elle qui était restée agenouillée, je tournais le dos à la bigote et nous pouvions opérer avec une certaine discrétion, quoique… si quelqu’un entrait dans l’église, il pouvait nous voir de profil, une vision d’enfer ! Elle m’a prestement ouvert la braguette et sorti mon engin, raide comme un piquet et commencé à me pomper délicieusement, avec sa langue qui me frétillait dessus. Je n’allais pas tenir très longtemps, ce qui valait mieux, dans ce contexte très risqué. Mais quand je fus près de conclure, je ne pus m’empêcher de donner comme d’habitude des petits coups de reins pour accompagner les spasmes de mon plaisir. Ensuite je me suis posé la question : la bonne femme agenouillée derrière moi dans le milieu de l’église, avait-elle deviné ce qu’on faisait ? On ne le saurait jamais, et Maria, ayant tout bien proprement avalé, rangea elle-même mon matériel dans mon caleçon. Le lendemain matin, au milieu du brouhaha général des adieux, nous nous sommes dit au revoir. Devant les autres, elle m’a embrassé plusieurs fois sur les deux joues, nous avons échangés nos e-mails et presque suppliante, elle m’a demandé : — Tu m’écriras, hein, promis ? —ooOoo— Rentré chez moi après quelques heures de route, je retrouvai ma douce et tendre, cherchant à être le plus naturel possible dans le récit que je lui fis de mon séjour. Mais je ne pouvais m’empêcher de me sentir gêné, sous le regard de ses yeux clairs. Le soir, nous avons fait l’amour, et elle m’avait félicité de ma ...
... performance : — Ouah, eh bien mon chéri, quelle endurance ! C’était trop bon ! Tu as dû te branler presque tous les jours, mon salaud ! J’espère que c’était en pensant à moi… ou bien parce qu’il y avait des bonnes femmes qui t’excitaient, hein, cochon ? Mais dès le lendemain de mon retour le cauchemar a commencé. Il ne s’agissait pas de s’écrire un petit bonjour de temps en temps. Maria m’inondait de mails, de SMS et d’appels téléphoniques que je ne prenais pas, par prudence. Et le problème était que nous avions à l’époque une adresse mail commune avec ma femme, quel idiot j’avais été. Cette folle devait passer une partie de la nuit à m’écrire et le matin je devais me précipiter sur l’ordinateur pour tout effacer, avec l’angoisse qu’au cours de la journée ma régulière tombe sur l’un des messages excités et très indécents que l’autre coquine m’envoyait. Au bout de quelques jours, la situation n’était plus tenable. Je prétextai des problèmes informatiques incompréhensibles pour changer d’adresse mail. Ce fut un peu plus compliqué pour le portable et je dus inventer une histoire arrivée à un copain, de harcèlement par une société de recouvrement dû à une erreur sur le nom, avec un robot appelant plusieurs fois par jour sans possibilité de réponse pour expliquer l’erreur. Là, ce n’était pas un mensonge total, ça appelait plusieurs fois par jour, et ce n’était pas un ordinateur, mais une petite bonne femme brune et déjantée, délicieusement perverse par moments… Les premières semaines, ...