Maria
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
religion,
poilu(e)s,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
nopéné,
uro,
confession,
... pensée se mit à m’échauffer encore plus l’esprit que ses seins brinquebalant en liberté, à la seule idée que sous l’étoffe légère elle avait l’entrejambe, la toison de sa chatte brune, qui devait être fournie comme ses sourcils noirs, et les fesses, à l’air, le même air, oui, que je respirais à côté d’elle… Dois-je l’avouer ? Ensuite, sous la douche, je réussis la performance d’un nouvel orgasme, quelques heures après ma séance de la nuit, en fantasmant sur ma plantureuse hôtesse. Il me faut ici ouvrir une parenthèse. Vous l’aurez peut-être compris, je suis amateur, pour ne pas dire fétichiste de la pilosité des femmes. Il faudra que je me décide un jour à écrire un texte qui serait un véritable éloge de la toison. Celle-ci n’est-elle pas un symbole de la sexualité féminine ? Dans la représentation de la femme nue, il y a ce merveilleux triangle au bas du ventre, non ? Et j’avoue que la manie de nous montrer maintenant des chattes rasées, qui doit venir de l’industrie du porno où l’on veut tout voir crûment, me fatigue un peu. Faut-il avoir des tendances pédophiles refoulées pour aimer ces minous glabres comme ceux des petites filles ? La femme, la vraie, a des poils de sexe, et quand je croise une dame désirable je tente toujours d’imaginer de quelle couleur est sa toison, sa forme, sa densité, sa frisure… Il est un signe caractéristique, qui semble maintenant reconnu et qui confirme les thèses que j’avais sur le sujet. Des études statistiques, publiées sur Internet, ont été ...
... menées dans le secteur médical, auprès des personnels ayant eu un accès visuel aux endroits concernés, en l’occurrence le bas-ventre des patientes. Elles démontrent que dans la majorité des cas il existe une relation étroite entre les sourcils et les poils pubiens chez la femme, au niveau de la couleur mais aussi pour ce qui est de la densité et de l’importance. Mais bon, si vous faites partie des intégristes anti-poils, je ne vous en voudrai pas si vous passez votre chemin et abandonnez la lecture de mon modeste récit. Mais vous manquerez alors le déroulement et l’escalade de l’incroyable aventure que j’ai vécue… J’y reviens, justement. Je ne vais pas vous barber avec les pénibles détails de l’accompagnement des handicapés et passer de suite à l’essentiel. Disons simplement que le père franciscain chargé de l’organisation du stage nous annonça le lendemain de notre arrivée que nous allions former des binômes, chacun chargé d’un groupe de pensionnaires. Ayant constaté qu’il y avait autant d’hommes et de femmes, il proposa de composer des équipes mixtes et ce par un simple tirage au sort. Devant notre assemblée réunie il mit dans deux chapeaux prêtés par des volontaires des papiers portant les sept prénoms masculins et les sept féminins. Une jeune pensionnaire fut appelée en tant que main innocente à tirer au hasard les équipes. Je calculai donc que j’avais deux chances sur sept de tomber comme partenaire sur l’une des deux séduisantes bénévoles qui me donnaient des idées. Au ...