Maria
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
religion,
poilu(e)s,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
nopéné,
uro,
confession,
... fur et à mesure des tirages, les équipes se regroupaient. Mais quand mon nom apparut, sorti du premier chapeau, il annonça le tirage féminin qui m’était associé : « Maria ! » Je vis alors s’avancer cette jeune femme que je n’avais classée ni dans les « faisant envie » ni dans les « vieilles sans intérêt ». Auparavant, dans le tour de table que nous avions effectué pour nous présenter chacun à son tour, elle avait laconiquement annoncé : « Maria, trente-trois ans, célibataire, secrétaire au chômage. » En définitive pourquoi pas ? Elle avait un physique un peu anodin, taille moyenne, cheveux bruns coupés court, yeux noisette, pas vraiment jolie mais avec un beau sourire éclairant parfois son visage dépourvu du moindre maquillage. L’espèce de sac dans lequel elle était engoncée ne permettait pas de se faire une quelconque idée sur ses formes, un survêtement composé d’un pantalon genre culotte bouffante, large et serré aux chevilles et d’un haut qui aurait peut-être pu en contenir deux comme elle. Elle était quand même un peu bizarre. Par exemple, alors que tout le monde se tutoyait et que je lui disais « tu » elle persistait à me vouvoyer, malgré mes remarques exprimant que je me sentais encore plus vieux à côté d’elle. — Mais non, vous n’êtes pas vieux. Vous êtes quelqu’un d’expérience, que je respecte et je dis « vous » aux gens que je respecte, c’est tout. Bon, admettons. Mais il y avait autre chose. Elle faisait manifestement partie des « culs-bénis » de l’équipe, je veux ...
... dire par là de ceux qui pratiquaient, qui semblaient proches des deux franciscains de l’association, ceux qui se complaisaient en de multiples signes de croix sous des prétextes futiles et au bénédicité au moment du repas. Elle était allée le matin même à l’office, à l’église du village, dont elle m’avait décrit avec véhémence le décorum et les statues. Curieux, chez une jeune femme, de nos jours, ce genre de pratique un peu intégriste, mais bon, encore une fois, après tout, pourquoi pas ? Mais je craignais que notre équipe ne soit pas trop « fun », avec cette sorte de nonne qui avait précisément l’âge du Christ sur la croix, et qui paraissait un peu coincée dans ses religiosités. Ce fut dans l’après-midi que mon opinion changea du tout au tout sur elle. La bruine intermittente avait cessé, les nuages se déchirèrent et le soleil de juillet commença à cogner dur, la température montant en flèche. Maria fit passer son haut de survêt par-dessus sa tête, et en fait… ce n’était pas si mal ! Elle apparut vêtue d’un tee-shirt noir tout aussi ample, à petites manches très courtes découvrant de jolis bras un peu bronzés. Le tissu qui se plaquait par moment dans son dos ne laissait apparaître aucune trace de soutien-gorge et sous le tee-shirt flottant on pouvait distinguer le mouvement de ses seins remuant librement. Mais ce n’était pas fini. Elle se mit en devoir de retirer aussi le pantalon informe qui la boudinait. En dessous, elle était en short, un de ces trucs un peu effilochés que ...