1. Maria


    Datte: 09/01/2021, Catégories: h, fh, hplusag, Collègues / Travail religion, poilu(e)s, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, nopéné, uro, confession,

    ... les jeunes coupent dans les jeans usés. Il était suffisamment court pour dévoiler des cuisses fuselées. Et sous les genoux il y avait de jolis mollets musclés… Ses belles jambes lisses étaient de plus mises en valeur par les espèces de chaussures de montagne qu’elle avait gardées, surmontées de grosses chaussettes tirebouchonnées, qui, associées au mini-short, lui faisaient une tenue vraiment sexy. Est-ce le fait d’être marié à une vraie blonde qui me donne cette attirance, cette curiosité envers les brunes ? Je la regardais maintenant avec les yeux concupiscents du mâle excité ! Et à la fin de ce strip-tease, j’eus la cerise sur le gâteau. Elle eut ce joli geste qu’ont les femmes pour arranger leurs cheveux, quoique là il n’y avait pas grand-chose à faire de ce côté-là. Les bras levés, sous ses manches courtes qui bâillaient un peu, elle me dévoila ses aisselles où l’on apercevait l’ombre brune de la légère toison ayant commencé à y repousser, comme une barbe de quelques jours. Elle ne pouvait pas le savoir, que c’était là une zone que je désirais particulièrement chez les femmes. Un des endroits où poussent leurs poils, un recoin pouvant être une promesse de ce buisson au bas de leur ventre. Bref, une de mes obsessions, moi qui ai toujours considéré l’aisselle comme une sorte d’antichambre de la culotte… Et je dois dire que même quand elles sont impeccablement rasées, j’aime regarder les aisselles des femmes, c’est un endroit intime que je trouve très érotique, et le ...
    ... geste qu’elles ont pour les découvrir est toujours charmant. Voilà, c’était tout, mais avec le changement de costume, la pièce prenait une toute autre tournure. En fait elle était tout simplement super bien foutue la petite punaise de bénitier, « super gaulée » comme disent les « djeuns » de nos jours. Et là, elle se baladait, à l’aise, nature, avec son joli cul serré dans son short en jeans et ses seins libres sous le tee-shirt, dans une sorte d’innocente indécence, d’impudeur sans façon. À un moment où elle se penchait pour rattacher ses lacets, j’eus par l’ouverture pourtant étroite du vêtement ras du cou un angle de vue assez plongeant et indiscret pour distinguer furtivement le profil d’un sein lourd à gros bout sombre. C’était quand même incroyable, ce genre de bonne sœur au physique de mannequin. Car en y regardant de plus près, elle aurait eu des yeux maquillés, des cheveux bien coupés, elle aurait été pas mal. Sa bouche un peu boudeuse et sa fine nuque dégagée par sa coiffure de garçonne auraient pu lui donner des airs de Jean Seberg en brune, pour ceux qui se rappellent deÀ bout de souffle, grand classique de Godard. À la fin de la journée, un gros bénévole dans la quarantaine, un peu jovial, qui dans le tirage au sort était tombé sur une partenaire ayant l’âge d’être sa mère m’avait lancé au passage : — Dis donc, t’es bien tombé, toi ! Elle est canon, ta greluche ! Et le soir, que croyez-vous qu’il arriva, dans ma chambrette ? Oui, obsédé que j’étais par les images du ...
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