1. Maria


    Datte: 09/01/2021, Catégories: h, fh, hplusag, Collègues / Travail religion, poilu(e)s, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, nopéné, uro, confession,

    ... corps de Maria la brune, pour la troisième fois en vingt-quatre heures, mes vaillantes glandes réussirent à cracher non leur venin, mais une liqueur abondante qui me soulagea assez pour me permettre de m’endormir. —ooOoo— Pendant les jours qui suivirent, je m’habituai un peu à sa tenue, le même genre de short et de tee-shirts, qui devenait banale, passé le premier instant de surprise. Ce n’était juste pas désagréable de pouvoir se rincer l’œil pendant nos activités et nos discussions. Un jour, j’eus même une vision qui hanta mes nuits et mes fantasmes. On faisait faire un parcours de santé à nos pensionnaires et dans un passage délicat en hauteur, une fille se trouva coincée sans arriver à monter ni redescendre. Maria se précipita pour l’aider, grimpant l’échelle de corde, mais en difficulté à son tour me demanda assistance. Depuis le sol, en dessous d’elle, j’attrapai son pied pour le placer sur mon épaule et lui donner ainsi un solide point fixe. Et quand je levai les yeux pour voir si ça allait, ouah ! Elle portait ce jour-là un short large genre culotte tyrolienne, s’ouvrant largement, dévoilant dans un premier temps toute sa cuisse brune et lisse. Et au-dessus, la culotte blanche bâillait, exhibant à mes yeux d’amateur de foufounes les frisottis noirs de sa toison… Nous avions fait petit à petit connaissance au fil de nos activités de la journée, et elle avait fini par accepter de me tutoyer. Et le matin quand on se retrouvait, elle me faisait la triple bise ...
    ... coutumière, et en sentant la douceur du velouté de ses joues contre ma barbe de quelques jours, je ne pouvais empêcher l’onde de désir qui me parcourait. Bien sûr, j’avais l’âge d’être son père, mais ce sont des choses qui ne se commandent pas… J’avais eu l’impression que c’était une fille qui n’avait pas eu de chance. Une histoire à la Cosette, une famille d’origine ibérique, un père parti ailleurs très tôt sans plus jamais donner de nouvelles, une mère pauvre ne pouvant pas financer des études, obligation de travailler très tôt, puis de passer des diplômes tout en bossant. Elle avait eu aussi deux grosses déceptions sentimentales, l’une vers vingt ans et l’autre récente après des années de vie commune, qui l’avait vraiment entamée, puis elle s’était retrouvée au chômage, un peu au fond du trou. Je connaissais assez le monde du travail et du recrutement pour la conseiller un peu sur ses recherches d’emploi et pour améliorer la présentation de son CV. Derrière des manières un peu frustes, elle était cultivée et il nous arrivait de discuter philosophie, politique, économie. Les jours passaient et un beau matin elle m’annonça que pour me remercier de mes conseils de recherche d’emploi, elle voulait m’inviter le soir même au restaurant. Le seul bouge du coin était une pizzeria bon marché, mais dans un premier temps je m’opposai à ce projet, lui démontrant qu’elle n’avait pas d’argent et que dans ce cas c’était plutôt à moi de l’inviter. Mais elle se mit en colère, non, non, c’était ça ...
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