La contrôleuse sans interdit
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
... travail. Monsieur Antoine clôt la visite en lui disant : — Aujourd’hui nous sommes un peu bousculés. Demain nous aurons plus de temps pour que je te montre l’usine en détail et que je te parle un peu des femmes qui travaillent ici, tu connais déjà ma réputation.— Oui et merci pour ce premier tour d’horizon.— Je te laisse ici, va voir notre responsable administrative Mademoiselle Parson et retourne au bureau d’études. La journée risque d’être longue. Monsieur Antoine et Édouard se séparent en se serrant la main. Après cette visite sommaire des lieux, Édouard se dirige vers le bureau de sa « Miss Prison » qui va lui fixer les règles du jeu. Une fois arrivé, Édouard frappe trois petits coups : — Entrez, crie assez fort Mademoiselle Parson à travers la cloison.— Bonjour Madame Parson, répondit Édouard.— Non ! Mademoiselle, Monsieur Écorcier, je ne suis pas mariée. « Quelle vieille toupie prétentieuse ! » pense immédiatement Édouard dans sa tête. — Excusez-moi, Mademoiselle Parson.— Monsieur Écorcier, vous allez travailler sous la responsabilité de Mademoiselle Tatiana Turkof qui vous expliquera en détail votre travail tout à l’heure. Nous aurons grandement besoin de vos connaissances en maths et en électricité théorique. Nous ferons le point tous les jours sur votre travail vers dix heures dans mon bureau. Si vous avez le moindre problème technique, de fabrication ou administratif, il faut m’en parler. N’oubliez jamais que cette usine fait un travail de précision et de ...
... qualité. Entre la sonnerie du matin et la dernière sonnerie du soir il n’y a que le travail qui compte.— C’est tout à fait normal, Mademoiselle Parson.— J’ai peur que Monsieur Antoine ne vous ait pas donné que de bons conseils.— Je pense que si. Il m’a conseillé d’être réservé mais courtois et bien élevé avec les femmes de l’atelier, ce qui correspond parfaitement à ma manière d’être.— Dans ce cas c’est qu’il a beaucoup changé. Courtois et bien élevé, c’est certain, réservé avec les femmes cela me semble être l’inverse de ce qu’il a fait dans la vie. Mais n’en parlons plus. Édouard a envie de poser ses marques avec cette femme qui, si elle poursuit dans cette voie, ne va pas tarder à lui parler des bienfaits du couvent. Il décide de faire allusion à ses relations avec le patron et à leurs premières discussions à bâtons rompus : — Monsieur Dumarez, avec qui j’ai dîné dimanche soir, m’a dit que l’on devait beaucoup à Monsieur Antoine qui avait amadoué les gestionnaires de production allemandes pendant l’occupation.— C’est vrai, mais il y a vingt-deux ans que la guerre est finie. Les Allemands et les Italiens sont maintenant nos premiers partenaires en Europe. À part moi, il n’y a pas beaucoup de femmes à l’usine et dans les environs qui n’aient pas succombé aux propositions de Monsieur Antoine.— Ce sont les bruits qui courent.— Et ils courent vite. Je vais peut-être vous choquer en employant des mots un peu crus : il ne faut jamais mélanger les affaires de fesses, aussi belles ...