La contrôleuse sans interdit
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
... aux anges et ne peut s’empêcher de rire pour lui déclarer sur un ton qui se voudrait solennel : — Dans ce cas, Madame Contra, votre jeune Édouard accepte avec plaisir votre proposition. Et c’est en toute décontraction qu’elle lui répond : — Dans ce cas, Édouard… vous permettez que je vous appelle Édouard ?— Oui, bien sûr, comme vous le feriez avec un ami de votre fille.— Et bien dans ce cas, je vais chercher mes affaires et je vous retrouve dans cinq minutes à la petite porte de derrière de votre vestiaire.— Je ne la connais pas.— Elle se trouve juste en face de la porte principale et ne s’ouvre que de l’intérieur. Elle permet de rentrer discrètement chez vous sans être vu par les femmes. Elle donne sur le parking des fournisseurs. C’est une des nombreuses astuces de notre Monsieur Antoine régional.— Un sacré coquin.— Peut-être, mais surtout un homme charmant et très prévenant avec les femmes.— Alors à tout de suite. Édouard se dirige vers son vestiaire. Arrivé sur place il découvre effectivement la petite porte en question. Il l’ouvre et peut constater de visu qu’en dehors des périodes de livraison la visite d’une bobineuse peut se faire en toute discrétion. Madame Contra n’est plus bien loin. Elle est toujours vêtue de sa grande blouse grise de travail et de ses chaussures de sécurité. Arrivé sur le pas de la porte elle demande à Édouard : — Édouard, vous m’invitez à entrer ?— Oui, vous semblez mieux connaître les lieux que moi.— C’est un peu normal j’ai vingt-cinq ans de ...
... maison et vous venez d’arriver. Sans aucune hésitation, Madame Contra se dirige vers le vestiaire particulier d’Édouard. Comme il n’y en a que deux, c’est forcément celui que n’utilise pas Monsieur Antoine : — Édouard, vous avez la clé de votre vestiaire ?— Oui, Monsieur Antoine me l’a donnée ce matin.— Vous avez des serviettes ?— Je ne sais pas.— Il faut les prendre dans l’armoire de l’entrée. Je vais vous en chercher. Les femmes ont droit à une grande serviette par semaine, mais vous, comme vous êtes cadre, ce doit être une par jour. Édouard ouvre son vestiaire dans lequel il a déposé ses vêtements en vitesse ce matin. Il est tout en longueur. Dans la première partie, une grande armoire en bois blanc, une grande table en bois délavé massif, une chaise et un tabouret métalliques. Dans la deuxième partie, séparée par une cloison, un bac à douche entièrement maçonné qui semble démesuré. On doit y tenir facilement à trois ou à quatre. Au-dessus une énorme pomme de douche, celle qui permet d’avoir des cascades d’eau sur le corps. À côté, une petite douchette complémentaire pour se rincer partout et plus en douceur. — Édouard, savez-vous à quoi sert cette belle table en bois qui est à l’entrée ?— Je n’en ai aucune idée.— Elle sert à masser et à faire d’autres choses très agréables avec un beau jeune homme comme vous. Édouard apprécie tout particulièrement cette femme qui décrit tout à demi-mot sans jamais prononcer les mots fatidiques : amour ou aimer. Édouard enlève sa blouse et ...