1. La contrôleuse sans interdit


    Datte: 10/01/2021, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail douche, volupté, massage, Oral fdanus, historique,

    ... l’accroche à un porte-manteau. Il s’assied ensuite sur la chaise en fer et fixe Madame Contra dans les yeux : — Si j’ai bien compris ton regard, mon bel Édouard, tu aimerais que j’enlève ma blouse. Édouard marque un petit geste de recul, presque imperceptible, mais que Madame Contra repère instantanément : — Ne t’inquiète pas, Édouard, dès demain dans l’atelier tu redeviendras Monsieur Écorcier et je te dirai « vous ». Mon problème c’est que je ne sais pas vouvoyer dans l’intimité.— D’une part, je ne suis pas inquiet, et d’autre part vous pourrez continuer à m’appeler Édouard si vous le voulez. Je ne suis pas un faux-cul et cela me fera plaisir. Par contre, ce serait vraiment sympa de me dire « vous » en public. Pas pour vous, pour les autres, parce que je ne suis pas là pour casser les habitudes et les traditions. En privé vous avez quartier libre.— Édouard, j’ai un prénom : Claire. Tu as aussi quartier libre pour l’utiliser en privé. Édouard fixe à nouveau Claire Contra dans les yeux et lui dit : — Claire, vous aviez bien compris mon regard. Votre blouse semble désormais superflue. Claire défait lentement les boutons de sa blouse en commençant par le haut. Comme le pensait Édouard ce matin, elle ne porte pas de soutien-gorge. Petit à petit sa poitrine se devine puis se découvre. Le dernier bouton défait, Claire retire avec beaucoup de sensualité sa blouse. La beauté de ses seins surprend Édouard qui pousse un « oh » plus qu’admiratif. Elle se rapproche d’Édouard, se penche ...
    ... vers lui et lui dit à voix basse, comme pour accentuer leur intimité naissante : — C’est vrai que si je suis une femme ni belle, ni moche, les hommes trouvent généralement que j’ai une poitrine magnifique.— Qui ne demande qu’à être caressée et embrassée. Claire se recule et enlève la dernière pièce de vêtement qui lui reste : une magnifique petite culotte en dentelle bleue nuit. Édouard se lève, prend Claire désormais toute nue dans ses bras et lui déclare : — Je ne sais pas si des hommes vous trouvent ni belle, ni moche. Je vous répondrais que je m’en fiche royalement. Moi, du haut de mes vingt ans, je découvre en face de moi une femme très belle, très sensuelle avec des seins resplendissants, des seins de conte de fées. Claire regarde Édouard dans les yeux, visiblement elle ne s’attendait ni à ce compliment, ni à la tournure que prend la situation. Deux petites larmes, qu’elle sèche immédiatement, coulent le long de ses joues : — Je suis très sensible aux compliments, Édouard, peut-être trop. Que veux-tu que réponde une femme comme moi, que tu trouves très belle avec des seins de conte de fées ?— Merci, tout simplement.— Alors merci, mon bel Édouard. Édouard reprend Claire dans ses bras. Il sent la fermeté de ses seins sur son torse. Il commence par l’embrasser dans le cou, puis avec sa main part goulûment à l’exploration de toutes les parties accessibles de son corps : — Votre peau est exquise et votre corps ne demande qu’à être cajolé.— Embrasse-moi, Édouard.— Non, c’est ...
«12...171819...24»