Première expérience à trois (suite et fin)
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
fhh,
hbi,
extraoffre,
inconnu,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
uro,
init,
couplea3,
... demandé de me pardonner mon infidélité et je me suis dirigé vers ce que je supposais être la cuisine. Samuel et sa compagne avaient dressé le petit-déjeuner, du pain, quelques pots de confiture et du café fumant. — Tu as fait de beaux rêves ? m’a malicieusement interrogé Samuel.— Ce n’était donc qu’un rêve ? ai-je répondu en riant. Je prenais de l’assurance. Ils ont ri, ont désigné une chaise, Sabine a rempli une tasse et mis une tranche de pain dans le toaster. Nous avons longuement discuté. Moi avec la chemise qui sortait du pantalon, lui en boxer et torse nu, elle en robe de chambre. Pour le peu que je les connaissais, j’adorais leur façon de parler de la vie. De la vivre aussi. Avec nonchalance et indolence. Avec légèreté. Ils n’étaient pas riches mais vivaient confortablement, ils n’avaient pas d’enfant, probablement avaient-ils leurs soucis mais ils parvenaient à les reléguer loin derrière. — Nous n’avons rien d’obsédés sexuels, a dit Sabine entre le beurre et le fromage. Comme si elle voulait se justifier. — Disons simplement que nous aimons varier les plaisirs et que lorsque nous t’avons vu là, à l’entrée de la chambre, nous avons profité de l’occasion. Devais-je m’en flatter ou me vexer ? Si ça n’avait été moi, auraient-ils invité quelqu’un d’autre ? Mon ami Michel ou le livreur de pizzas ? Ce n’était pas le moment de les assommer avec mes états d’âme, aussi, avec l’air du mec qui en a déjà tellement vu qu’il ne s’étonne plus de rien, je me suis resservi de café. ...
... J’y ai même ajouté du lait. Bien plus tard, mais je n’ai pas regardé l’heure cette fois, j’ai estimé qu’il était temps de lever le camp. Je leur ai demandé si je pouvais prendre une dernière douche, Samuel a dit que je pouvais rester le temps qu’il me plairait, qu’ils n’avaient pas d’autre projet pour ce samedi. Mais je ne voulais pas donner l’image du p’tit gars en quête de famille adoptive, alors j’ai bombé le torse et je me suis avancé dans l’escalier. J’étais nu, dans la salle de bains, et je relevais la planche du WC lorsque Sabine a poussé la porte. J’ai d’abord été offusqué qu’elle entre ainsi sans s’annoncer, puis je me suis repris : protester pour cette atteinte à ma pudeur aurait été du plus mauvais effet après ce que nous venions de vivre. Elle s’est assise sur un tabouret disposé à côté de la cuvette et m’a fixement regardé. Un peu étonné, m’efforçant de ne pas me mettre les mains en coquille devant le sexe, je lui ai demandé ce qu’elle voulait. Elle ne voulait rien, juste discuter un peu. Mon envie d’uriner avait disparu, alors je me suis reculé et j’ai voulu clore le couvercle du WC. Mais elle a arrêté mon bras : — Continue, j’ai envie de te voir uriner… Craignant de tomber dans un délire uro ou scato, me remémorant ces images de films pornos où on voit des blondes plantureuses se faire pisser dessus avec un air gourmand, j’ai ouvert la bouche pour protester. Une fois de plus, elle a été plus rapide que moi : — Ne crains rien, je veux juste te voir faire pipi. Et ...