1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 636)


    Datte: 12/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (1/4) - Je m’appelle Aurélia. J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires de sexe. Afin de payer mes études, j’ai fini par trouver quelques heures de bonne de ménage au château de Monsieur le Marquis d'Evans. Nourrie et logée, le Maître des lieux me laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Cette chambre rustique était au rez-de-chaussée dans l’aile gauche du château et avait une entrée indépendante sur le côté. Une porte de communication permettait l’accès dans les appartements du Marquis et de son compagnon David. Ce couple homosexuel était très connu dans la région et même estimé car le Marquis Edouard d'Evans était d’une grande hospitalité fort légendaire acquise au fil des siècles chez les Evans. Monsieur le Marquis d'Evans était un avocat réputé pour sa verve et David juge d’instruction (ce qui formait donc un couple gays original) et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit. Mon travail n’était pas trop pénible. Monsieur le Marquis d'Evans et David n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur cabinet respectif, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le grand repas mensuel au cours ...
    ... duquel ils recevaient leurs relations en soirée mondaine. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. David m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noirs aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguisée. Mais Sir Evans et David étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issus tous les deux d’une famille de la grande et noble bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom tout en les vovoyant, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Monsieur. Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Le château se situait au milieu d’un immense parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. J’avais le dimanche et lundi comme jours de congé. Mais le samedi et après mes heures de travail, ils m’avaient autorisé à me baigner et utiliser le sauna durant leur absence. Ils rentraient en général vers 21 heures le samedi soir et s’occupaient eux même du repas du samedi soir, la cuisinière n’étant pas au château car le ...
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