1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 636)


    Datte: 12/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... goûter à ma bite ou tu préfères celle de David ? - Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Aurélia, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! Tu vas voir le sien va te remplir ta bouche de salope. Comme je n’ouvrais pas la bouche : - Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère. - Ne la brusque pas, dit le marquis, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ? - Non ! - Tu vois David, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement. - Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ? - Non, j’ai déjà eu un copain il y a 6 mois, mais nous n’avons jamais fait ça. - Alors David, montre lui comment on doit s’y prendre. David ne mit à genoux devant son compagnon et après qu’il lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, il commença par lui lécher la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Monsieur le Marquis d'Evans fut bien ...
    ... raide, David se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration. - A toi maintenant. J’allais me mettre à genoux à mon tour, quand David rajouta : - Non, reste allongée, le Maître se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que son compagnon ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme. - Laisse-toi aller, salope, ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre. Il me parlait comme une mère parle à son enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant au marquis : - Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant nous. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? Qu’y a-t-il de plus bon dans la vie ?... Allez, viens… Entre chaque phrase d’encouragement, il reprenait sa succion, avec un réel savoir-faire, il faut l’avouer. Bientôt il ne s’arrêta plus et c’est le Maître qui continua à me parler pour me détendre. - Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une ...