1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 636)


    Datte: 12/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils sont exigeants sur la qualité de la marchandise. Le Marquis avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par David qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec Sir Evans. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de David venant juste après les miennes m’avaient enlevé de ma vigueur, il reprit : - Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher ‘’toute neuve’’ dans un de nos dîners mensuels. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances à Cannes, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie. - C’est vrai on a eu de la chance, Maître Dumont me le disait encore hier : - «Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, ...
    ... prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ? - Nous savons les choisir, enfin surtout David. Il les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. David et moi, nous y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maître, lui dit ai-je - Voilà un sacré cochon ce Dumont. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment. - Toi David, aussi tu l’aimes bien la queue de Maître Dumont ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier. Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre, ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit le marquis, personne ne m’aurait entendu. David a du le sentir, car il a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe. - Qu’est-ce que je t’avais dit ! Nos histoires ont émoustillé cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Tient, regarde, touche ! - Mais ? tu as raison ! Dit Monsieur le Marquis d'Evans, alors sale petite vicieuse ! Ca t’excite les histoires de cul ! Tu as envie de ...