Betty
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
lieuxpubl,
... Mais tu es nue !— Presque, j’ai fait un détour par les toilettes. Ses mots se perdent dans ma bouche que sa langue fouille avec application et délectation. Ce faisant, elle entrouvre son sac dans lequel reposent et sa petite jupe noire et son corsage blanc. Et mes doigts rencontrent en effet le nylon des bas attachés à des jarretelles, et la chair chaude du haut de ses cuisses. La montée dure trop peu de temps. Au premier étage changement d’époque et place aux maquettes des réalisations contemporaines, la médiathèque des deux gaves, Ossau et Aspe d’Oloron Sainte-Marie, le moulin de la chocolaterie Menier. Dans l’appartement de la cité radieuse, nous profitons de l’étroitesse des lieux pour nous frôler, toucher, caresser avec volupté. J’empaume ses seins sous le trench-coat, et par mouvements circulaires successifs, en érige la pointe à travers la dentelle, bien calé dans le sillon qu’elle creuse en rejetant sa croupe en arrière, les jambes écartées. Elle ronronne. Quelle femme ! Nous quittons à regret la maison du Fada et accédons au deuxième étage. Plus on monte moins il y a de monde. Changement d’ambiance : lumières tamisées, coins et recoins, reconstitutions de dômes, cryptes, vitraux, grès chauds et couleurs vives, représentations de foi naïve. Florence prend la pose sous la voûte de Cahors. Une jambe coquine, gainée d’un bas retenu par une faveur s’extrait de l’imper, la tête rejetée en arrière, la poitrine arrogante en avant. Clic-clac, photo à l’aide du smartphone. ...
... Direction Albi, allongée sur un banc de pierre, les jambes, largement découvertes, sur les bas, jarretelles, culotte. Clic-clac, dans la boîte. À Montoire, imperméable rejeté derrière les épaules, en petite tenue, cambrée, tournée vers le photographe, provocante, érotique, sensuelle, belle ! Nous entrons la crypte de l’église de Tavant. Je me prends au jeu du photographe : — Cache-toi derrière une colonne.— Tends la jambe, un peu plus.— Voilà plie-la et tends la pointe de ton pied vers le sol.— C’est parfait ! Ne bouge plus! Clic-clac. La jambe forme un R avec la colonne, sans que le corps apparaisse. Florence se cache derrière une autre colonne. — Ouvre ton imper, buste en avant, tête et jambes en arrière ! Cette fois seul un sein de dentelle noire semble accroché au côté de la colonne. Je lui fais prendre une autre pose, jambes écartées de part et d’autre d’une colonne, comme un trident de chair et de pierre. Florence se fait muette et ne bouge plus. Je la rejoins, elle me plaque contre une colonne et prend ma bouche avec appétit. Elle m’embrasse et me pelote comme un homme. Sa main pétrit mon sexe et le saisit à travers le tissu. Sa langue est un serpent agile qui visite tous les recoins de ma bouche. Sa main de boulangère me pétrit avec force. Ça ne lui suffit pas, elle me débraguette, baisse mon boxer, et se saisit de mon sexe, sans cesser de m’embrasser à en perdre le souffle. Elle me branle, c’est une sensation délicieuse, sa main chaude et menue qui enserre mon sexe, et ...