Betty
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
lieuxpubl,
... partent à l’aventure. — C’est la première fois… me distille à l’oreille Florence, qui me mord le lobe. Un frisson électrique me parcourt le dos, puis un autre. Elle ne m’a pas lâché la queue, sur sa main se répandent les dernières humeurs. Elle l’apporte à la bouche et la nettoie telle une chatte de sa langue. Tip… tap… tip. La femme s’éloigne accompagnée du regard de Florence par-dessus mon épaule. — Je crois qu’on nous a observés, me dit-elle.— Il y avait quelqu’un ? Tu es sûre ?— Une femme, je crois.— Et quel effet ?— Étrange, d’abord une envie de me cacher, puis de faire semblant de ne pas avoir vu. Nous terminons la visite du deuxième et croisons plusieurs femmes, une dame de 70 ans passés s’appuyant sur une canne, non ce ne peut être elle. Une jeune et jolie femme d’une trentaine d’années accompagnée de son mari et d’une petite fille, pas possible qu’elle ait échappé à leur surveillance. Les femmes seules sont rares dans les musées, nous en croisons deux autres au rez-de-chaussée, une rousse, cheveux courts, très garçonne et une Noire mince en tailleur-pantalon noir et escarpins. — Tu crois qu’il s’agit d’une des deux ? je demande à Florence. Je penche pour la Noire, et toi ?— Tu es un vicieux, j’ai fait quelque chose que je n’ai jamais fait et tu m’as forcée à continuer, alors qu’il y avait quelqu’un.— Tu pouvais arrêter, avoue que ça t’a excitée.— Tu es un pervers, je ne veux plus te parler. Florence s’éloigne, nous sommes de nouveau au rez-de-chaussée, elle se ...
... dirige vers le porche de la cathédrale de Strasbourg. La rousse a quitté la salle, reste la Noire, en contemplation pas loin de Strasbourg. Elle s’y dirige d’ailleurs et ce faisant se tourne vers moi. Elle a vu que je la dévisageais et un léger sourire éclaire son visage tandis qu’elle s’approche de Florence. C’est une bien jolie femme, grande, élancée, avec une forte poitrine et un derrière d’adolescente. Elle est maintenant à côté de Florence qui boude toujours devant le porche de grès rouge. Je m’approche d’elle et la saisis par la taille. — Pour me faire pardonner, je t’invite à boire un chocolat au Café de l’Homme. Je me penche à son oreille et lui dis tout doucement : — Tu reconnais ce parfum ? Florence tourne légèrement la tête vers la Noire toujours absorbée dans la contemplation des figures du porche. Je vois les ailes de son nez délicieux se dilater à la chasse aux odeurs, une fois, deux fois. — Numéro 5, je dirais.— Alors c’est elle qui t’a admirée m’avaler. À ce moment-là comme si elle avait l’intuition que nous parlons d’elle, notre voisine se tourne vers nous et dévisage Florence, qui pique un fard et baisse les yeux. Je l’emmène au café, l’assois, et nous ramène deux chocolats chauds avec deux cookies. — Tiens pour reconstituer tes forces. Une odeur familière, une silhouette. — May I ? Puis-je ? Elle nous a parlé en anglais. Je lève les yeux : le café est plein et devant moi la Noire désigne une chaise libre à notre table. — Of course, with pleasure, bien sûr avec ...