1. Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (1)


    Datte: 21/01/2021, Catégories: Transexuels

    ... maîtresse de maison qui dirigeait les opérations et une fois déguisé, elle m’a emmené dans la salle de bain pour me maquiller de la façon la plus plausible possible. Nous étions désormais trois femmes à l’étage et j’adorais marcher avec les bottines à talons. Muriel est partie chercher un appareil photo pour immortaliser ma tenue, elle m’a même fait prendre plein de poses, certaines un peu évocatrices. Je me sentais vraiment femme ainsi vêtu d’autant plus que je savais que Claude allait s’occuper de moi mais je ne savais pas trop comment et quand. Une fois bien dans ma peau de femme, Muriel partît chercher du parfum avant que nous descendions toutes les trois dans le séjour où Claude nous attendait assis dans le canapé. — Je me doutais bien qu’il y avait une petite pédale qui se cachait derrière cette chemise et ce pantalon. — Je te remercie ma chérie pour lui prêter tes vêtements histoire de la rendre plus appétissante. Je me laissais guider par les deux femmes qui lentement mais sûrement m’approchaient du prédateur qu’était devenu Claude. Sa femme a reculé la table basse pour que je puisse me retrouver face à son mari quand ce dernier s’est relevé. De mon côté je préférais penser à autre chose en admirant toute la décoration de cette pièce. Muriel s’est chargée de faire tomber le pantalon de son mari qui dissimulait un boxer très fin, on pouvait admirer ...
    ... l’énorme érection de monsieur. À ma grande surprise Patricia s’est jointe à sa nouvelle amie pour libérer le sexe de son patron, j’ai l’impression que ça lui faisait tout drôle de toucher un sexe de cette taille. Mine de rien Claude avait un sexe qui devait faire vingt-deux centimètres de long pour cinq de diamètre, moi qui étais fier avec mes vingt centimètres je pouvais me rhabiller. Maintenant que son dard était libéré, ce dernier me caressait la robe ; j’ai honte à l’avouer mais cela m’excitait. Muriel m’a invité à m’agenouiller, je savais ce que cela voulait dire et Patricia me regardait en approuvant la demande d’amie. C’est ainsi que je me suis retrouvé nez à nez avec le pieu de Claude à quelques centimètres de ma bouche. Il sentait bon l’homme désireux avec une petite odeur de vieux sperme quand même, les deux femmes se sont mises à le masturber tout en douceur. Pendant ce temps, de sa main droite, Patricia était en train de m’approcher du fruit défendu, soumis et obéissant que j’étais devenu en quelques instants ; je me laissais guider par ma femme en laquelle j’avais une grande confiance. — Je compte sur toi pour faire du bien à mon patron, voilà trois quarts d’heure qu’il te désire. C’est sur ces mots, que pour la première fois de ma vie, un sexe masculin rentrait dans ma bouche. En espérant que ce premier chapitre vous ait plu. Je vous fais des gros bisous. 
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