1. Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (1)


    Datte: 21/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l’androïde, du reste du ventre jusqu’à la tête, en passant par le buste et les bras. Tout était déjà articulé, comme chez un véritable être humain, et tout était élégamment habillé d’un uniforme noir qui se terminait en col roulé au niveau du cou. Après avoir posé les deux parties sur la table, j’ai retiré le papier cartonné qui recouvrait le visage. Ce fut un choc. Bien entendu, au moment de choisir le modèle que je désirais je n’avais pas été indifférent aux considérations esthétiques, mais je pensais avoir fait certains choix pour me garder d’une telle réaction. Par exemple, j’avais sélectionné « Bonnet B : poitrine moyenne » (en rougissant) parce que je voulais être certain de ne pas avoir de pensées indécentes à l’avenir. Et de la même manière, au moment de choisir un visage, j’avais écarté les reproductions de starlettes de divertissements holographiques, et j’avais préféré cliquer sur le visage le plus commun et le plus banal qui soit. C’était un visage de jeune femme qui, quoiqu’élégant et féminin à y regarder de près, pouvait très bien passer de loin pour un faciès d’homme. Au lieu de cheveux blonds et d’yeux verts ou bleus qui attiraient inévitablement l’attention, j’avais penché pour les options les plus communes et les moins remarquables possibles : des yeux bruns, des cheveux bruns. Pourtant, maintenant que je voyais ce visage en vrai, je ne pouvais pas nier à quel point je le trouvais séduisant. Ses yeux fermés semblaient suggérer un sommeil paisible. De loin, ...
    ... ses traits les plus durs lui donnaient un air de garçon manqué (ce qui ne me déplaisait pas nécessairement étant donné ma bisexualité) mais, de près, ses traits les plus fins lui conféraient une grâce qui me faisait chavirer. Ses cheveux bruns étaient bouclés contre à mon attente, et je trouvais cela magnifique. Ses longs cils laissaient deviner des yeux d’une douceur ineffable. Quant à sa petite bouche, elle semblait appeler un baiser que j’aurais adoré lui donner. Mon cœur battait la chamade. J’avais l’impression d’observer une personne endormie à son insu et cela me mettait très mal à l’aise. Comme je voulais dissiper ce que je ressentais et passer rapidement à autre chose, je me suis dépêché d’activer la machine. J’ai glissé le haut de la partie inférieure là où elle pouvait entrer en bas de la partie supérieure. Les deux parties se sont jointes là où une personne normale aurait dû avoir un nombril et ont émis une série de cliquetis indiquant que les deux composants se connectaient en interne là où ils devaient se connecter. Une fois ce processus terminé, j’ai appuyé sur les deux boutons d’activation cachés sous la peau, à l’arrière de la mâchoire, sous les oreilles. Au bout de trois secondes interminables, un bip sonore m’a indiqué que le FG-61 se mettait à chauffer pour entrer en service. Pendant vingt minutes, que j’ai passées dans une angoisse incontrôlable, la machine est restée complètement immobile, à élever la température de ses « organes ». Enfin, la belle s’est ...