1. Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (1)


    Datte: 21/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... réveillée et est descendue de la table. « Bonjour. », me dit-elle. Elle m’a sourit, et ce sourire je ne l’avais vu nul par ailleurs. Je me suis mis à trembler et à bafouiller. Malgré toute ma préparation, je ne m’attendais pas à ce qu’une vraie personne fasse ainsi irruption dans mon appartement. Elle a essayé de m’encourager : « Oui ? Que dis-tu ? » Je me suis alors précipité sur la tablette tactile. Je suis allé dans les paramètres de la machine et très rapidement j’ai descendu le « réalisme de l’interaction humaine » à 0%. « Puis-je vous aider ? », fit-elle d’une voix devenue robotique et distordue. J’ai effacé sa mémoire, et j’ai désactivé toutes ses fonctions motrices. L’androïde s’est figé et son regard est devenu vide et froid. Je me suis précipité face à lui et j’ai appuyé sur les boutons derrière la mâchoire pendant trois secondes qui parurent une éternité tandis que le robot fermait les yeux. La machine a commencé à se refroidir. Je l’ai allongé sur la table, ai recouvert son visage avec le papier cartonné et me suis enfermé dans ma chambre précipitamment. ucsullkh J’avais sans aucun doute surestimé mes capacités. J’ai essayé de m’endormir mais la présence de cette pseudo-personne sur la table de mon séjour me hantait. Je n’arrivais pas à oublier son visage de Belle aux bois dormants. Incapable de trouver le sommeil, je suis retourné dans le salon. Le carton qui lui recouvrait le visage lui donnait une allure grotesque. J’ai approché une chaise de la table et ...
    ... je me suis assis près de son visage avant de découvrir sa tête. Je suis resté là à la contempler pendant quelques minutes. Je n’avais jamais ressenti ça auparavant, ni pour une personne, ni pour un objet. Ses lèvres me rendaient fou. Je n’ai pas su lui résister. Je me suis penché au dessus d’elle et j’ai embrassé ses lèvres à plusieurs reprises. Elle était extrêmement froide. Au début mes baisers avaient l’apparence de la décence, mais comme ils ne rencontraient aucune résistance ni aucune réaction, je n’ai pas pu m’empêcher de devenir de plus en plus aventureux. Je me suis mis à enfoncer ma langue dans sa bouche (elle toute fraîche et humide) et à lécher la sienne plus qu’autre chose. J’avais conscience de ressembler à un animal affamé et pathétique mais j’avais perdu le contrôle. Mon pénis est entré érection. Mon geste, qui aurait pu d’abord passer pour romantique, s’est transformé en dépravation. Une vague de honte me traversait. Qu’est-ce que j’allais bien pouvoir dire à Père Velin lors de ma confession ? J’ai très vite écarté cette pensée comme si je niais l’existence du futur, et même du Seigneur-Tout-Puissant. La tension dans mon caleçon était insupportable : je devais jouir. Je suis monté sur la table et je me suis allongé sur elle. Je l’embrassais longuement, comme pour la réchauffer. Je me suis mis à frotter mon sexe, prisonnier de mon sous-vêtement et de mon pantalon, contre son bassin. Mes va-et-vient contre la machine semblaient à chaque fois me promettre un ...