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Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (1)
Datte: 21/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... soulagement mais ils ne faisaient en fait qu’augmenter mon désir lubrique. Je me suis mis à caresser ses seins en passant mes mains sur son uniforme. Lorsque j’ai compris que cela ne suffirait pas à me satisfaire, j’ai eu un dernier moment de lucidité avant de devenir une simple bête et j’ai murmuré, à bout de souffle : « Pardon Seigneur. Ô Seigneur, je vous en prie, pardonnez-moi. » Après ce semblant de prière, j’ai cédé à la tentation sans possibilité de retour. J’ai glissé mes mains sous l’uniforme de mon robot et j’ai caressé ses seins avidement. Sa poitrine avait une froideur qui n’avait rien de naturel bien que la chair était parfaitement imitée par ailleurs. Je me suis mis à viser son vagin plus précisément en pressant ma queue contre son corps. Je butais contre elle comme si je voulais la pénétrer à travers nos pantalons. Plus tôt, j’avais conscience que ce que je faisais était très mal, mais après cela j’ai perdu tous mes principes. Mes mouvements étaient saccadés. Un coup de bassin plus fort que les autres a fait sortir ma langue de sa bouche en me déséquilibrant. Je me suis surpris à lécher ses petites lèvres. Elle ne pouvait rien faire contre. C’était obscène mais elle ne pouvait rien faire contre. Je me suis mis à lécher son visage en m’écartant de sa bouche. Je ...
... dominais cette jeune femme, cette chose, et je pouvais lui faire tout ce que je voulais, peu importe à quel point c’était absurde et à quel point c’était pervers. Je continuais de lui peloter les seins. Je me suis imaginé aller plus loin : je pouvais la déshabiller, lui écarter les jambes et la pénétrer autant que je le voulais. Je pouvais la baiser pendant des semaines sans jamais l’activer. À cette pensée, j’ai senti l’éjaculation approcher. La sensation de l’orgasme approchant m’a à la fois comblé de bonheur et horrifié. Je n’arrivais pas à croire que j’étais allé aussi loin. Je ne voulais pas la salir, et je ne voulais pas non plus salir mon caleçon. J’ai sorti ma queue pour me branler mais je me suis écarté de l’androïde et je me suis assis en bout de table. La manœuvre m’a presque fait perdre l’orgasme qui venait, puisqu’il était aisément remplacé par une honte indicible. Mais, alors que je perdais l’inspiration, je suis allé chercher le visage de la jeune femme avec ma main gauche et j’ai enfoncé deux doigts dans sa petite bouche humide. Elle était à moi. C’est alors que j’ai atteint l’orgasme et que je me suis vidé les couilles entièrement sur le sol de mon appartement. Un instant de plaisir infini, suivie de deux secondes de paix. Puis, la culpabilité. Qu’ai-je fait ? (à suivre)