1. Souillure et plaisir (2)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Christine est de retour ! Enfin je devrais dire « était » (je m’excuse pour le changement de temps brusque au chapitre précédent, à partir de maintenant tout sera au passé. Les maladresses de débutant…). Quelques jours après sa mésaventure (ou plutôt aventure !) avec George, Christine se retrouva au port de Marseille pour embarquer vers la Corse. Quelques vacances lui feraient le plus grand bien. Psychologiquement, elle se remettait difficilement de ses dernières semaines. Elle ne s’inspirait plus que dégout : elle qui avait toujours été une mère de famille modèle, un exemple de fidélité envers son mari ; elle s’était laissée aller au péché de la chair en fantasmant sur son gros voisin, pour finir par l’avoir dans son ventre (et puis, une vraie coquine…). Il l’avait souillée, il l’avait salie, et ça n’était pas bien. Elle avait préparé une grosse valise, avant de partir chez sa fille pendant quelques jours. Et puis, pas un mot sur ce qui s’était passé. Ah non ! Il en allait de son honneur. Non, il fallait oublier cette histoire, et une petite escapade lui ferait le plus grand bien. En période scolaire, fin d’année, le meilleur endroit à visiter ne pouvait être que la Corse. Programme : plage et soleil pendant trois semaines, quelques hôtels loués çà et là, il ne lui ne lui manquait rien pour vivre les plus merveilleuses vacances. Loin de George, loin de ses fantasmes. Habillée d’une simple chemise et d’une mini-jupe en jean, Christine trépignait d’impatience : elle voulait ...
    ... ses vacances, ses grasses matinées et ses heures de bronzage au soleil. Elle finit par embarquer sur le ferry après avoir garé sa voiture. La dame aurait pu partir en avion, mais elle aurait dû louer une voiture sur place : trop contraignant. La voici embarquée, prête à vivre de nouvelles aventures. Elle se trouva une petite place dans une des nombreuses salles du navire, avec de grands écrans sur les côtés diffusant des films, et se retrouva à côté d’un jeune garçon à sa droite, sûrement la vingtaine et encore scotché sur son téléphone. Quelle tristesse cette jeunesse… Comme on dit : chassez le naturel ; il revient au gallot. Cela n’avait jamais été aussi vrai. En fait, si Christine était parvenue depuis quelque jour à laisser de côté ses envies, ses fantasmes, et ses souvenirs en compagnie de son cher voisin ; elle ne se doutait pas que la divine providence allait la rattraper assez tôt : le départ se déroula dans le plus grand calme, mais la situation se gâta au bout de quelques heures. Le bateau se mit à tanguer, et très vites de nombreuses personnes tombèrent malades à bord, y compris l’homme à sa droite. Il s’accrochait désespérément à son siège, tout vert. Compatissant, elle tenta de lui changer les idées (sans se rendre compte qu’elle allait parfaitement y parvenir…) en amorçant la conversation : — Ça va aller Monsieur ? Comment vous appelez-vous ? Lança-t-elle. — Je m’appelle Louis madame. Répondit-il. Je me sens ballonné, ça va pas du tout là… Le pauvre homme, Il ...
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