1. Souillure et plaisir (2)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... revient au gallot : la belle eut une bouffée de chaleur, et des papillons dans le bas-ventre aussi. Elle attendit un peu, et ça la travailla : elle se sentait à la fois scandalisée par l’attitude de son voisin, mais compréhensive (il était encore assez jeune…). Particulièrement révoltée, elle partit donc se changer les idées aux toilettes avant de prendre quelque décision que ce soit. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle ne fut pas déçu : avez-vous déjà visité les toilettes d’un ferry ? La belle choisit une cabine et ferma la porte, non sans entendre les gémissements d’une personne, probablement en train de mourir, à sa gauche. Le bateau tanguait, et la belle dut se débarrasser de sa jupe pour pouvoir se tenir ; elle se retrouva donc à moitié nue, la foufoune à l’air libre, dans un endroit sale et ragoutant. Elle repensa au jeune homme, son début de moustache plutôt repoussant mis à part, il deviendrait sûrement beau-garçon avec le temps. Malgré elle, sa colère s’estompa. Le désir naquit même lorsqu’elle repensa à son geste : elle passa sa main sur son buisson, soufflant légèrement. Elle repensa à Georges : lui aussi l’avait espionné de manière voyante. Le plaisir et le désir ne se firent pas attendre : ses tétines tiraient sur son soutien-gorge, qui les cachait fort heureusement. Bref : tout sentiment de colère disparut. Le voici le naturel : Christine repensa à Louis, pendant quelques minutes. Elle lui pardonna (malgré son éducation bien morale), et frotta son bouton ...
    ... de sa culotte blanche : la dentelle râpait un peu sur son clitoris, et elle ne mit que très peu de temps avant de jouir, dans un léger (très léger) gémissement, bien caché par ceux de son voisin de cabine. Ouf ! Ça allait mieux. Si Christine avait assumé son côté coquine, elle se serait peut-être masturbée plus souvent. Et peut-être, du coup, qu’elle n’aurait pas dans l’extase de sa jouissance pris des décisions aussi peu morale (selon son point de vue, bien évidemment). Sa culotte, toute trempée par son activité naissante, était inutilisable. La belle remit sa jupe, et réfléchit : culotte ou pas culotte ? Elle était clairement trempée par sa mouille, ça aurait été sale de la remettre. En même temps, le buisson à l’air était-il une meilleure option ? Ça allait se voir, les gens allaient le remarquer, elle se disait. Oh non, ça n’était pas bien… Une fois n’est pas coutume, ses ovaires reprirent le contrôle, et elle décida de se débarrasser de sa dentelle, faute d’endroit où la cacher. Et oui ! Elle avait laissé son sac à main sous la surveillance de Louis. Décidément… Voyons voir : à gauche, un mec rendait tripe et boyaux ; elle ne pouvait pas non plus la laisser dans sa toilette, quelqu’un pourrait rentrer juste après elle. Elle tendit l’oreille vers la cabine de droite : on n’y percevait pas un bruit. Discrètement, elle jeta sons sous-vêtement par le dessous de la cabine, et sortit des toilettes en quatrième vitesse. La sensation de l’air sous sa jupe, pour la première fois ...
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