1. Souillure et plaisir (2)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... transpirait à vue d’œil ; Il faut dire que le navire tanguait fort. Christine prit pitié, elle avait déjà connue ce type de situation avec sa fille et son mari, et savait comment attaquer le problème à la base : la belle partit chercher une bouteille d’eau, et offrit un petit cachet à son compagnon, qui ne se fit pas prier pour l’avaler. — Avec ça vous devriez aller mieux en un rien de temps. Le mal de mer, c’est difficile à supporter vous savez, il ne faut pas avoir honte. — Merci Madame, c’est très sympa. Comment vous vous appelez ? — Christine, répondit-elle en souriant. Louis eut un haut le cœur et se pencha en avant par réflexe. En bonne maman qu’elle avait été, elle frotta le dos de l’homme qui, à quelques années près, aurait pu être son fils. C’était par réflexe, par instinct maternel : rien de sexuel, mais encore à cet âge on s’excite pour un rien, et Louis commença à regarder sa belle voisine d’un autre œil, si vous voyez ce que je veux dire… Ils tapèrent tranquillement la discussion, et la belle apprit que son voisin avait 19 ans, en étude d’ingénieur à Marseillais, et qu’il rentrait voir sa famille pour le week-end. Finalement, elle finit par se poser, les mouvements du navire la berçait, et la belle se glissa dans un sommeil reposant. Ce qu’elle n’avait pas calculé (ou inconsciemment ne voulait pas calculer…) c’est qu’elle était assise à côté d’un jeune homme qui la trouvait tout à fait à son goût. Et accessoirement qu’elle n’était vêtu que d’une mini-jupe en ...
    ... jean qui lui arrivait péniblement en haut des genoux. Lorsqu’il vit la belle quadragénaire endormie, toute belle, toute vulnérable, Louis en bon jeune homme qu’il était ne se fit pas prier : il glissa lentement et sûrement son téléphone dernière génération entre les deux cuisses de Christine et bombarda la culotte de la belle. Il était parvenu à rester discret vis-à-vis des voisins (en même temps, beaucoup avaient le mal de mer, et les autres s’occupaient alors…), et avait récolté des photos sous tous les angles, le coquin. Sur beaucoup d’entre elles, on pouvait apercevoir quelques poils pubiens dépasser d’une jolie petite culotte en dentelle blanche. Bref, le jeune homme était aux anges : il lorgnait les photos, une main bien cachée dans sa poche. Mais sa proie finit par se réveiller. Christine, dans les vapes, mit pas mal de temps à s’éveiller. La belle ouvrit lentement les yeux et jeta un rapide coup d’œil à l’horloge ; il était 14h, ce qui laissait encore six bonnes heures de trajet avant d’arriver au paradis des vacances. Elle souffla, et se redressa : son geste paniqua son voisin, qui se paluchait (le coquin) tranquillement à travers sa poche de pantalon : Christine eut juste le temps d’apercevoir une photo (de sa culotte, qu’elle reconnut distinctement). Louis la regarda en souriant, d’un air (très) gêné. Elle eut une bouffée de colère, mais lui rendit son sourire, faisant mine de rien. — Louis, je te confie mon sac à main. Je reviens. Quand on vous dit que le naturel ...
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