1. Et j'entends siffler le train...


    Datte: 22/01/2021, Catégories: train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... du plaisir à tout ça, ils avaient partagé quelque chose d’à la fois terriblement cru et finalement assez doux… Il en était déstabilisé, heureux, inquiet, fier, honteux aussi, bref plein d’émotions opposées et très fortes. Tout cela, il ne pouvait pas le dire à Fabien. Pas entre mecs. Il en avait envie mais sentait aussi qu’il risquait l’incompréhension et qu’il ne comprenait pas encore assez lui-même que pour pouvoir l’expliquer. — La salope…— Ouais ! Bon, il faut que je raccroche, Fabien, je te rappellerai, ok ?— Ouais ! Ok, non attends, attends, tu vas la revoir alors… par rapport au billet ?— …— Oh putain, il va la revoir ! Michel, ne déconne pas, réfléchis quand même… t’es marié, tu te souviens ?— Oui je sais, il faut vraiment que je raccroche, là !— Mouais, rappelle-moi, d’accord ? Et fais pas de conneries !— Promis ! À plus… Depuis cette soirée il ne faisait que ça, des conneries. D’ailleurs ça commençait à poser des problèmes au boulot. Une semaine de conneries ça finit par se voir ! Elles avaient commencé à s’accumuler dès le soir même en rentrant chez lui. Il voulait à tout prix éviter de réveiller Annie, n’avait pas allumé, et du coup avait fait tomber ce putain de portemanteau qui s’était cassé. Par une chance extraordinaire, elle ne s’était pas réveillée. Ce truc était moche de toute façon. Il avait donc tout ramassé et quasi rampé dans la salle de bains pour se récurer, de peur qu’elle sente quelque chose… les odeurs sont tellement traîtres. Sous la douche il ...
    ... n’arrivait pas à penser à autre chose que Julie. Sa petite robe, ses seins, ses magnifiques jambes, sa bouche, ses lèvres qui lui suçaient les doigts, son cul…. Rapidement, il eut de nouveau une érection. L’eau de plus en plus froide ne changea rien. En désespoir de cause, il se masturba énergiquement, priant pour que sa femme ne se réveille pas à ce moment-là. Il éjacula, se rinça et se mit au lit. Elle dormait toujours, ouf ! Elle avait bien de la chance. Michel n’arrivait pas à chasser ces images de sa tête. Il faillit avoir encore une érection. Il n’osait pas bouger. Finalement, à quatre heures du matin il plongea dans un sommeil instable. Au petit déjeuner, il avait l’impression d’avoir le mot SALAUD écrit en gros sur son front quand Annie le regardait. Il ne s’assit d’ailleurs pas et but juste sa tasse de café en lâchant quelques réponses désabusées à propos de la soirée, du genre : — Bof ! Tu connais leurs amis, c’était tranquille…— Tu n’as même pas fait quelques rocks avec Aline (la maîtresse de maison et mère de Julie) ?— Si, un ou deux, mais bon… Bon ! Il faut que je file, à ce soir. Le bisou d’au revoir fut rapide. C’était devenu un rituel mécanique et rapide. Comme celui des retrouvailles du soir après leurs longues journées de boulot. Comme celui du « bonne nuit » quand ils éteignaient leurs lampes de chevet respectives. Tout était devenu sec et rapide dans leur couple. Comme sa femme, aurait-il dit s’il avait été plus lâche. Mais ce n’était pas entièrement sa faute ...
«1234...10»