1. Et j'entends siffler le train...


    Datte: 22/01/2021, Catégories: train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... l’était, elle n’avait vraiment rien contre ! Au contraire ! L’homme aussi avait compris, il s’était encore rapproché. Et s’il montait subitement ? Julie sentait la bouche de son amant lui mordre la nuque et son sexe buter contre ses fesses. Elle tourna la tête pour capter sa bouche. Ne réussissant pas à la trouver, elle mordilla sa joue et son oreille. Il fit glisser la seconde bretelle. Ses seins emprisonnés dans l’étoffe retenaient celle-ci mais dévoilaient déjà une partie de leurs beautés. Il commença à caresser cette gorge ainsi offerte. Il lui chuchotait à l’oreille des compliments ou des insanités. Peu importait, sa voix, elle aussi, était une caresse. Elle coulait vers son ventre comme un fluide chaud et sucré, animée d’un désir propre. Il lui parlait de ses seins et avant même qu’il les touche elle voyait ses mains s’en saisir. La réalité rattrapa le film de son désir et il pétrit tendrement le contenu palpitant du bustier. Glissant ses mains entre eux, elle essayait de caresser son sexe toujours plus dur, mais il ne voulait pas. Il lui prit les mains, les ramena sur sa poitrine et plaqua davantage son bassin contre ses reins. Il la plaquait contre la vitre. Comme elle aurait aimé l’avoir en elle en ce moment ! Elle le voyait soulever sa jupe et la pénétrer, d’un seul mouvement, lent et continu. Elle sentait son propre sexe gonflé et prêt à être envahi de la sorte. Le businessman était à un mètre de la vitre quand Michel lui fit dévoiler ses tétons puis la ...
    ... totalité de ces seins. Il se força à regarder les yeux de l’unique spectateur de cette caresse à quatre mains. L’autre n’avait d’yeux que pour les seins de Julie dont la respiration s’accélérait. C’en était fait de son tanga en dentelle ! Il était trempé. Elle tortillait pour se frotter contre ce sexe qu’elle voulait pour calmer le sien. Comme s’il entendait sa supplique, Michel plongea une main vers son pubis et, sans soulever sa jupe, massa son petit bouton ! Elle savait qu’elle ne résisterait pas très longtemps ! D’un mouvement enveloppant, il explorait tout son sexe de sa main. Il le sentait sous le tissu, humide et ouvert. Il l’aurait bien volontiers empalée, mais ce n’était pas encore possible. Il accéléra ses mouvements et la pression sur son clitoris. Il sentait Julie se tendre. Leur spectateur fixait cette main comme pour lui demander de lui dévoiler le reste du tableau. Sans la fenêtre il aurait été assez près pour les toucher. Mais ce n’était pas prévu au programme. Julie arrêta de chercher à embrasser ou caresser son amant pour profiter du plaisir qui montait et allait se répandre en elle. Quand le sifflet annonçant le départ retentit, Julie jouit, les yeux clos et la tête en arrière. Quand elle les rouvrit, les yeux stupéfaits de « Richard Gere » s’éloignaient doucement, immobiles, sur le quai… Y a pire comme voyeur ! se dit-elle. Ils étaient effectivement seuls dans le compartiment, au moins jusqu’à Lyon. Heureusement, car ils avaient encore fort à faire… 
«12...78910»