1. Et j'entends siffler le train...


    Datte: 22/01/2021, Catégories: train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... repartit d’un coup. Il battait à nouveau ou plutôt il cognait dans la cage que lui faisait sa poitrine, comme pour se révolter contre le temps perdu. — Vous êtes toujours là ? demanda la jeune fille.— Oui, oui.— Ça vous dirait qu’on se revoie ? Ou non ?— Oui. Non, je veux dire, bien sûr que je veux, volontiers, j’en ai même très envie. Je n’aurais pas imaginé que toi aussi…— Eh bien, moi aussi !… J’y ai même beaucoup pensé… Elle avait beaucoup pensé à lui… Peut-être s’était-elle remémoré son plaisir, leurs plaisirs ? Michel sentait que son sexe prenait vie. Il le sentait s’irriguer doucement de sang chaud et d’énergie. Son cerveau lui aussi commençait à revenir à la vie. Il entendait les mots, l’intonation, le souffle. Elle l’avait appelé, elle avait pensé à lui… — Qu’est ce que tu veux dire par là ?— …— Tu as eu envie de moi ?— …Oui…— Tu t’es caressée en pensant à moi ? La question lui sembla presque naturelle. — …— Alors ? Sa poitrine, sur le bord de l’explosion à trop contenir sa joie, lui donnait de l’assurance. — …Oui…un peu…— Tu as joui en pensant à moi ? Michel bandait carrément, maintenant. S’il n’avait pas été au bureau, il aurait sorti son membre pour se caresser. — …— Alors, dis-moi ! Tu as joui en pensant à l’autre soir ?— Oui ! répondit-elle plus fort.— …Moi aussi j’ai pensé à toi… C’était vrai. Oh, combien vrai ! Beaucoup trop vrai ! Il avait même une petite irritation à la base de la verge à force de se masturber en pensant à elle… — …— Moi aussi j’ai envie de ...
    ... toi, là maintenant j’ai envie de toi.— …— Je pars demain matin à Paris pour le boulot jusqu’à vendredi soir mais je pourrais m’arranger pour ce week-end— … Ah ! Non, ce week-end… c’est pas possible… (Julie semblait gênée) Enfin je ne pourrais pas… J’ai un truc prévu avec mon… des copains— Ah ! Oui… Bien sûr… Bienvenue dans la réalité ! Elle avait un copain. Pire, lui était marié… Quel abruti il était ! — Mais je pourrais venir à Paris avec vous, peut-être ?— Pardon ?— Oui, je sais pas, je me baladerais, je vous attendrais à l’hôtel, enfin si vous voulez…— Mais comment tu vas expliquer à ton… à tes parents que tu vas à Paris…— Je me débrouillerai… Ils avaient convenu de se retrouver à la cafétéria un peu avant le départ du TGV, mais ils avaient dû raccrocher peu après car le patron de Michel avait débarqué dans son bureau. Il entendit à peine l’engueulade et les recommandations pour l’intervention à Paris. Il flotta ainsi entre ciel et terre jusqu’au soir. Annie regardait la télé, il préparait ses affaires, la routine. Il avait l’habitude de faire sa valise pour ces petits déplacements professionnels. Une chemise, un pantalon au cas où, caleçon, chaussettes. Le tout assorti au costume qu’il prendrait le matin en partant. La trousse de toilette compléterait le tout après sa douche matinale. Ce qu’il n’avait jamais fait, c’était partir accompagné de sa maîtresse. En fait, il n’avait jamais eu de maîtresse. Il s’en étonnait parfois. Ça aurait été une autre solution. Annie était ...
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